Des « nanorobots » issus d'injections ARNm ont-ils été observés par le gouvernement japonais ?
Le gouvernement japonais a-t-il vraiment entrepris une enquête sur la présence de nanorobots dans les injections ARNm ? Fait-il sécession avec l'OMS ? Existe-t-il des études en prouvant l'existence ?
Une rumeur colportée par de nombreux lanceurs d’alerte après le sujet tonitruant de « the people voice », un media alternatif américain prétendant qu’en « enquêtant sur la présence de nanorobots dans les injections Covid-19 le gouvernement japonais fait trembler Pfizer ».
Cette rumeur est-elle vraie ?
S’appuyant sur une étude scientifique prétendant démontrer la présence de nanorobots auto-assemblés, à peine évoquée par le journaliste, la publication, décrivant la situation comme absolument révolutionnaire, est rapidement partagée sur les réseaux anglophones de Substack, puis dans plusieurs webzines indépendants, et timidement en francophonie, pour totaliser près d’un million de vues sur le web.
Or, bien que le Japon soit à la fois l’auteur et la victime d’un embargo de l’information par des opérateurs comme MSN, tout comme la France et la plupart des pays du monde, je n’ai pu trouver absolument aucune source relatant une quelconque action du gouvernement japonais à ce sujet avec les outils dont je dispose.
Aucun signe, à aucun niveau, concernant la participation du gouvernement japonais à une telle opération.
À moins qu’elle ne soit classée secret défense, auquel cas je ne pense pas que le media annonçant la nouvelle ait les contacts adéquats pour récupérer une information aussi brûlante.
Par ailleurs les économies japonaise et américaine étant liées à l’extrême, il est peu probable que le gouvernement nippon s’engage dans une bataille ouverte contre son allié.
Tous deux à la pointe des recherches sur les nanorobots intracellulaires injectables et financés par des multinationales connexes, comme, par exemple, la fondation Bill et Melinda Gates. 1
Schéma de l’organisation des financements de la production d’injections ARNm au Japon :
En revanche, bien qu’il ne représente pas le gouvernement japonais, le « World Council for Health » ou Conseil Mondial pour la Santé, organisation ayant permis une passerelle avec la Suisse pour les révélations du Professeur Inoue, traduit en français par Réponses Bio au mois de Mai, a bel et bien soutenu et participé à la diffusion d’une étude fort complète et détaillée.
Après des manifestations inédites, puisque spécifiquement orientées contre les conséquences néfastes du cocktail ARNm Covid, suite au décès d’enfants pleurés par leurs parents, le World Council for Health n’a pas chaumé en prolongeant, à sa manière, le travail commencé par Reiner Fuellmich et son tribunal populaire, toujours incarcéré par son gouvernement suite à un coup monté l’accusant de détournement de fonds.
Interviewant et réunissant les travaux de nouveaux chercheurs, le Conseil Mondial pour la Santé crée de nouvelles connexions avec de nombreux électrons libres, dont un jeune professeur de linguistique de l’Université d’Okinawa spécialisé dans l’étude de ce que David Hughes23 appelle la guerre secrète contre les peuples, et une gynécologue sud coréenne spécialisée quant à elle dans la microbiologie moléculaire et la prise de clichés de micromolécules.
Ces derniers n’ayant rien à voir avec les équipes de scientifiques qui, chacun dans leurs disciplines, ont réalisé des découvertes analogues, puisque c’est un duo qui était décidé à trouver des preuves d’armes biologiques ou « nanoweapons », déjà identifiées par d’autres comme David Hughes, Ana-Maria Mihalcea, David Nixon, Karen Kingston, ainsi que l’équipe espagnole de la « Quinta Colonna » ou cinquième colonne, et faisant partie d’un travail d’information largement documenté sur le sujet depuis 2010 par un des auteurs de cette dernière étude.
Cependant si pour les chercheurs espagnols ces technologies proviennent de civilisations aliennes, et que Karen Kingston est persuadée que c’est une attaque diabolique tournée contre la chrétienté, les équipes anglaises et américaines, et maintenant pourrait-on dire japonaises, plus pragmatiques, penchent pour une guerre contre les peuples lancée par des oligarques obsédés par le risque de perdre le contrôle économique et de réguler la population mondiale.
C’est en tout cas ainsi que Daniel Broudy4, ne se contentant pas de simplement observer des formes étranges se recoupant avec les observations de ses confrères, commente en détails les résultats des observations de sa collègue microbiologiste Young Mi Lee.
Cependant avant de vous traduire l’intégralité de cette étude réalisée sur plus de trois ans, comprenant tant la présence d’oxyde de graphène dans les injections Pfizer et Moderna, que le test de différents modes d’activation menant, selon eux, à la formation de nanorobots, dont :
- la wifi
- les smartphones
- la 5G
- les rayons ultra violets
- les disques durs externes
- et la chaleur.
Mais aussi de leur capacité à s’auto-assembler et se « recycler » en se dégradant et se réassemblant à nouveau…
Répondons à cette question :
La science est-elle réellement capable de concevoir des nanorobots injectables en série ?
La réponse étant bien malheureusement, oui.
D’ailleurs différentes revues scientifiques assument le fait que le Japon puisse être leader dans ce domaine. 5 6
Tout comme il est vrai qu’il fut, en 2021, un des rares pays à bannir le « vaccin » Moderna de la circulation suite à la découverte de substances « suspectes » à l’intérieur de plusieurs lots.7 8 9
Et bien que l’on puisse reprocher à certains de ces observateurs de sacrifier une partie de leur impartialité en cherchant trop précisément ce qu’ils entendent trouver, leurs observations, issues de différents pays, se recoupent avec différents outils et méthodes d’analyse.
Si vous maitrisez l’anglais vous pouvez consulter leur étude, annoncée, à mon avis à tort, comme remuant les instances japonaises les plus officielles, en consultant cette source. 10
Cependant si ce n’est pas le cas, une version traduite, documentée et expliquée en français, est en cours de préparation et vous sera envoyée avant la fin de la journée.
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Etude réalisée par Daniel Broudy et Young Mi Lee entre 2021 et 2024 :
“Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructionsin Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study”
Auto-assemblage en temps réel de constructions artificielles stereo-microscopiques en incubation de produits à ARNm essentiellement trouvés chez Pfizer et Moderna : Une étude longitudinale complète
65 pages en traduction directe, contenant schémas, photographies, références et liens disponibles à partir du 18 Aout 2024 à 16h en exclusivité sur Substack derrière ce lien :
Attention ! La source principale de l’étude de Daniel Broudy vient d’être supprimée par google, afin de vous assurer d’avoir une traduction française disponible une publication spéciale sera dédiée à cette étude en français : https://www.researchgate.net/publication/382358701_Real-Time_Self-Assembly_of_Stereomicroscopically_Visible_Artificial_Constructions_in_Incubated_Specimens_of_mRNA_Products_Mainly_from_Pfizer_and_Moderna_A_Comprehensive_Longitudinal_Study
P.S. La rédaction à eu le temps de télécharger le document PDF en anglais disponible en téléchargement direct derrière ce lien.