Traduction française de l'étude de Daniel Broudy et Young Mi Lee : Auto-assemblage en temps réel de constructions artificielles stereo-microscopiques issus d'injections à ARNm
Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructionsin Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study
Etude en version originale disponible en PDF en téléchargement direct derrière ce lien
Résumé de l'étude :
Cette étude explore les effets des vaccins à ARN messager Pfizer et Moderna sur des échantillons biologiques, en utilisant la microscopie stéréoscopique pour observer la formation en temps réel de structures artificielles dans ces échantillons après incubation. Les chercheurs ont étudié les fluides des vaccins seuls, mais aussi au contact du sang et du sperme, pour observer les changements au niveau cellulaire et l'auto-assemblage de structures nanotechnologiques présumées.
Points Clés :
Auto-assemblage de structures visibles : Les chercheurs ont observé que les vaccins à ARN messager de Pfizer et Moderna entraînent la formation de structures visibles, auto-assemblées, dans des milieux de culture incubés. Ces structures incluent des filaments, des rubans, des spirales, et d'autres formes géométriques, visibles au microscope.
Réactions cytotoxiques : L'étude rapporte que les vaccins provoquent des effets cytotoxiques, en particulier sur les cellules sanguines et les cellules spermatiques, entraînant la mort cellulaire rapide dans plusieurs cas.
Influence de l'incubation à long terme : Les structures observées se développent sur une période de plusieurs mois, avec des changements progressifs dans la forme et la complexité, soutenant l'idée que les vaccins contiennent des matériaux nanotechnologiques qui peuvent s'auto-assembler.
Comparaison avec d'autres vaccins : Les vaccins AstraZeneca et Novavax, bien que non basés sur la technologie ARN messager, ont également montré des effets cytotoxiques, mais avec moins d'auto-assemblage de structures complexes que ceux de Pfizer et Moderna.
Analyse du sérieux de l'étude :
Revue et publication : L'étude est publiée dans un journal spécialisé, mais celui-ci n'est pas largement reconnu dans la communauté scientifique internationale.
Méthodologie : L'utilisation de la microscopie stéréoscopique permet d’observer des détails fins comme des structure naométriques en plusieurs dimensions, mais l'interprétation des résultats concernant l'auto-assemblage et la présence de structures nanotechnologiques nécessite un oeil critique.
Contexte : En 2024 les résultats de ce type d’études sont difficilement publiables dans des revues officielles compte tenu de leur orientation contre le biais cognitif réglementé face à la vaccination en occident.
Conclusion :
L'étude présente des résultats intrigants et controversés, suggérant la présence de structures artificielles auto-assemblées dans les vaccins à ARN messager. Cependant, bien que méticuleux et censurés, ces résultats doivent être pris avec précaution et complétés dès que possible par d'autres recherches indépendantes.
Traduction complète de l’Étude :
Introduction
Aux premiers jours de la campagne visant à vacciner massivement la population mondiale contre le COVID-19, un petit nombre de médecins et de chercheurs indépendants ont commencé à exprimer des inquiétudes quant à l'inefficacité, voire aux effets négatifs des vaccins à ARN modifié (Beattie, 2021 ; Hughes, 2022 ; Santiago, 2022 ; Nyström et Hammarström, 2022).
En plus des questions soulevées sur les ingrédients, leur mode d’action signalé se concentrait sur l'induction d'anticorps neutralisants sériques IgG au lieu de produire des anticorps sécrétoires plus efficaces (IgA). Ces derniers, présents dans la muqueuse respiratoire, ont toujours servi de principale ligne de défense naturelle contre les infections virales respiratoires.
Étant donné la possibilité que de nouveaux variants de SARS-CoV-2 puissent être rapidement induits par des milliards d'injections promues par les autorités du monde entier, un nombre croissant de décès a été attribué à des souches de SARS-CoV-2 et à des séquelles graves (Lyons-Weiler, 2020 ; Vojdani & Kharrazian, 2020 ; Vojdani et al., 2021), entraînant de nombreux décès dans les centres de population du monde entier (Beattie, 2021).
Les rapports officiels du gouvernement sud-coréen, à partir de décembre 2022, ont montré environ 2 600 décès et plus de 18 000 autres séquelles aiguës attribuées aux vaccins contre le COVID-19. La contradiction entre les affirmations d'efficacité et les preuves matérielles de préjudice est inéluctable : la Corée du Sud pouvait revendiquer l'un des taux de vaccination les plus élevés au monde (88 % des personnes ayant reçu au moins 3 doses) tout en présentant, par la suite, également le taux d'infection le plus élevé (89 %) en avril 2022, lorsque la saison grippale et les rhumes respiratoires sont à leur minimum. Ces faits seuls indiquent que les vaccins n'offraient aucune protection et ne prévenaient pas le COVID-19. C’était le contraire qui se produisait.
Les injections n'étaient ni sûres ni efficaces. Ces chiffres seuls devraient inciter les médecins et les chercheurs à reconsidérer l'axiome selon lequel "corrélation ne signifie pas causalité". Dans certains cas, c'est pourtant ce qui se produit (Beattie, 2021). Nous montrons ici des corrélations observables en temps réel entre les causes et les effets dans les cellules humaines vivantes réagissant à la toxicité des injections COVID-19. Nous montrons également des preuves de structures microscopiques auto-assemblantes apparaissant dans divers milieux où le fluide des injections COVID-19, en particulier des produits Pfizer et Moderna, incubés pendant 12 mois ou plus.
À la suite du programme de vaccinations de masse à partir de mars 2021 et dans les mois suivants, des augmentations significatives de décès excédentaires de causes "inconnues" et de séquelles graves telles que des caillots sanguins, d’hémorragies inexplicables, de dommages multiples aux organes (et de défaillances), des pics soudains de maladies cardiaques (cardiotoxines), des cancers du sang, y compris leucémies et lymphomes, ainsi qu’une série d'autres "turbo" cancers, de fausses couches, de troubles neurologiques et auto-immuns, entre autres, sont apparus chez de nombreux patients (Nyström et Hammarström, 2022 ; Santiago & Oller, 2023 ; Perez et al., 2023 ; Mead et al., 2024).
Ces observations ont suscité notre intérêt pour considérer l’ensemble du tableau, tant dans la société qu'en laboratoire, où des images plus claires du contenu des injections pourraient être soumises à une analyse minutieuse au microscope. Ce rapport de nos résultats a été aidé par la recherche indépendante d'un groupe connu sous le nom de Korea Veritas Doctors (KoVeDoc), avec qui nous avons partagé des injections fabriquées par Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Novavax. Tous ces produits étaient largement utilisés en Corée du Sud. Ces produits semblaient causer une gamme d'effets négatifs sur la santé des patients : stades avancés de cancers du sein agressifs, saignements utérins dysfonctionnels, avortements spontanés, augmentations soudaines des maladies cardiaques (dyspnée et palpitations), pneumothorax, multiples maladies de la peau, et apparition rapide de conditions auto-immunes aggravées.
Bien que nous venions de finir la traduction complète de l’étude de Daniel Broudy et Yougmi Lee concernant l’observation d’auto-assemblage de molécules réactives à leur environnement, que vous trouverez ci-dessous, des gênes de compréhension et défauts de traduction peuvent persister. Une nouvelle lecture sera faite d’ici demain afin de gommer ce problème autant que possible. Merci pour votre soutien.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Études d'observation
Ces études d'observation ont commencé le 10 décembre 2021. Une analyse préliminaire ayant montré que les produits Pfizer et Moderna étaient substantiellement différents des autres injectables COVID-19, comme AstraZeneca et Novavax. Ces différences ont motivé un travail initial avec les produits Pfizer et Moderna, car les contenus ont été préparés pour des analyses et des incubations ultérieures dans divers milieux de culture. L'objectif était d'identifier des agents potentiellement détoxifiants pour le traitement des patients.
Une période de douze mois a été jugée adéquate pour commencer à comprendre plus clairement les effets à long terme des produits lorsqu'ils sont injectés dans le corps humain et exposés à diverses conditions ambiantes, y compris les champs électromagnétiques et les radiations ultraviolettes.
Résultats et Hypothèses
Le séchage des fluides injectables COVID-19, comme le montre notre section sur les résultats, produit également des cristaux plus nombreux et variés. Le processus apparent d'auto-assemblage pouvant être camouflé par des cristaux se formant naturellement, comme les sels. Nous pensons que d'autres chercheurs ont pu à tort attribuer toutes les entités auto-assemblantes observées à des nanotechnologies.La présence de nanotechnologies dans les injectables COVID-19 a été discutée pour la première fois par Campra et ses collègues (2021a, 2021b), qui ont utilisé des méthodes spectroscopiques puissantes pour révéler des entités programmables au niveau nano. Plus récemment, Diblasi et Sangorrin (2024) ont confirmé et étendu les résultats de Campra.
En vue de ces résultats, et de ceux de la présente étude, présentée en détail ci-dessous, nous réfutons l'hypothèse selon laquelle les entités auto-assemblantes observées dans la section “Résultats” puissent être des cristaux se formant naturellement, à partir de sel ou de cholestérol, comme cela a été suggéré par Bigtree et Cole (2022).
Matériel et Méthode
Cinquante-quatre échantillons injectables de COVID-19 (à la fois résiduels et nouveaux), ainsi qu'un vaccin contre la grippe et un échantillon distinct de solution saline normale (servant de témoins), ont été examinés avec un stéréomicroscope. L'analyse a inclus 45 flacons de Pfizer (43 résidus, 2 nouveaux, 11 numéros de lot) et 7 flacons de Moderna (tous résiduels avec 5 numéros de lot), 1 nouveau d'AstraZeneca et 1 nouveau de Novavax. La chambre de Makler a permis de compter précisément les matériaux flottants non identifiés dans les différents produits. Tous les flacons ont été conservés par réfrigération à −20° Celsius et ont été examinés avec un microscope après décongélation à température ambiante (RT) pour se rapprocher de l'environnement des sites où les injections ont été administrées : hôpitaux, cliniques et autres institutions de santé. Comme l'étude comportait de nombreux points de données, il était extrêmement difficile de contrôler tous les échantillons et les numéros de lot associés, nous présentons donc dans le tableau 1 uniquement ceux qui ont été suivis et confirmés.
Les échantillons de fluides injectables, ainsi que les spécimens de sang et de sperme, ont été examinés sous un stéréomicroscope équipé dans une chambre de comptage Makler. Les conditions de laboratoire comprenaient l'utilisation d'un stéréomicroscope, une hotte à flux laminaire, une plaque chauffante et une lumière ultraviolette. Le stéréomicroscope est un outil spécialisé permettant d’examiner des spécimens tridimensionnels dynamiques, utile dans l'observation des procédures de reproduction assistée. La chambre de comptage Makler est utilisée pour compter les spermatozoïdes dans un espace limité afin d’évaluer la fertilité masculine.
Figure 1 illustre l'équipement de laboratoire utilisé : (a) À droite, un stéréomicroscope, une hotte à flux laminaire avec UV et une plaque chauffante. (b) Un stéréomicroscope connecté à un moniteur LCD pour l'observation. (c) Un plat de culture Moderna sur la plaque du stéréomicroscope avec surveillance vidéo. (d) Cinq plats de culture sur la plaque. (e) Une chambre de comptage Makler.
Ces équipements sont essentiels pour l'examen microscopique des spécimens et pour diverses procédures de laboratoire, notamment celles impliquant la reproduction assistée.
Les examens microscopiques directs des injectables COVID-19 à ARNm ont été réalisés dans le laboratoire Hanna IVF, certifié par le ministère coréen de la Santé et du Bien-être sous le numéro 138 comme espace stérile spécialisé. Pour éviter toute contamination croisée pendant l'étude, toutes les procédures de traitement de la fertilité ont été suspendues et le laboratoire a été fermé au public en raison des préoccupations concernant la nature imprévisible des nanomatériaux exposés.
Examen Microscopique Direct des Injectables COVID-19 à ARNm
Un total de 54 injectables COVID-19, dont 45 flacons de Pfizer, 7 de Moderna, 1 d'AstraZeneca et 1 de Novavax, ainsi qu'un vaccin contre la grippe et un échantillon de solution saline normale en tant que témoins, ont été examinés avec un stéréomicroscope. Ces examens ont été réalisés après décongélation des échantillons, qui étaient conservés à -20°C, à température ambiante pour simuler les conditions dans lesquelles les injectables sont administrés. La chambre de comptage Makler a été utilisée pour le comptage précis des matériaux flottants non identifiés dans les différents produits. En raison de la complexité de l'étude et du nombre important de points de données, seuls les numéros de lot confirmés et suivis présentés dans le tableau 1 ci-dessous.
Réactions du Sang et du Sperme
Des échantillons de sang et de sperme ont également été examinés pour évaluer leur exposition et les réactions potentielles aux quatre injectables COVID-19, en comparaison avec un vaccin contre la grippe et une solution saline normale (0,9 % de sodium) utilisés comme contrôles.
Pour écarter tout biais et toute confusion possible avec du sang potentiellement contaminé par des contenus injectables, un échantillon de sang complet a été prélevé chez un participant non vacciné, et le plasma a été préparé à partir de la couche surnageante par sédimentation naturelle pendant environ 3 heures à température ambiante, afin d'éviter tout type de dommage mécanique dû à la centrifugation. Dans l'intérêt de préserver les mécanismes de coagulation naturels et d'éviter toute intervention biochimique inattendue, pour la pureté des échantillons (sang ou plasma), cette procédure n'a pas utilisé de récipients enduits d'EDTA.
Huit lames de verre distinctes ont été préparées pour observer comment les injectables interagissaient avec les échantillons de sang. Chacune des quatre premières lames contenait une goutte de sang complet et une microgoutte de chaque injectable. Les gouttes étaient positionnées de manière à permettre une interaction facile et observable à l'aide de lamelles, ce qui permettait le mélange progressif des échantillons. Quatre échantillons de plasma ont ensuite été traités pour observation de la même manière. Dans l'intérêt de comprendre les interactions des matériaux injectables dans divers milieux, le plasma sanguin de personnes non injectées, le sang complet de ces personnes, des échantillons de sperme d'hommes injectés et non injectés, ainsi que divers autres milieux liquides ont été étudiés au fil du temps. La documentation numérique des changements dans les fluides corporels et les cellules vivantes a été réalisée par enregistrements vidéo répétés à intervalles réguliers de 5 à 10 minutes, 30 minutes, 1 heure, 2 heures ou plus, et pour les études impliquant uniquement les matériaux injectables incubés dans divers fluides, les enregistrements variaient d'intervalles de jours à des semaines et des mois, comme rapporté dans notre section Résultats.
Les échantillons de sperme, en tant que représentants idéaux et facilement interprétables des cellules vivantes, via leur motilité reconnaissable même pendant de courtes études en culture, fournissent une excellente base pour examiner l'impact progressif de la cytotoxicité au fil du temps. Concernant les quatre échantillons de sperme que nous avons examinés en détail, trois provenaient de participants vaccinés ayant reçu 2 ou 3 injections de COVID-19, et qui ont par la suite signalé des problèmes de fertilité et donné leur consentement pour l'utilisation de leurs échantillons de sperme précédemment collectés à des fins expérimentales, et un échantillon provenait d'une personne n'ayant reçu aucune injection de COVID-19. Au moment de la collecte initiale des échantillons de sperme, aucun des donneurs 'vaccinés' n'avait signalé d'effets secondaires négatifs des injections de COVID-19 qu'ils avaient reçues. Avant l'étude expérimentale, tous les échantillons de sperme étaient classés comme normaux, selon l'Organisation mondiale de la santé, en ce qui concerne le nombre de spermatozoïdes, la morphologie et la motilité (OMS, 2021). De manière significative, l'échantillon de contrôle provenant de l'individu 'non vacciné' était de qualité excellente. Le donneur était relativement jeune, encore dans la vingtaine, et n'avait pas été exposé aux effets toxiques que les trois autres donneurs pouvaient avoir expérimentés en raison des injections de COVID-19. Les fluides supplémentaires et autres matériaux connus ou potentiellement toxiques que nous avons étudiés par rapport à la motilité des échantillons de sperme comprenaient du soju (spiritueux distillés coréens, 20°), du vin rouge, de la bière et de l'eau de silice. De plus, en les ajoutant à la solution saline normale, nous avons examiné l'impact de la vitamine C, du mica et des milieux d'incubation d'extraits de peau prélevés chez un receveur injecté. Nous nous attendions à ce que le degré de cytotoxicité de l'un des milieux examinés apparaisse dans la motilité des cellules spermatiques des divers donneurs.
Étude d'Incubation
En plus des analyses précédentes, plusieurs approches d'incubation des composants des différents injectables ont été appliquées. Cet aspect de l'étude d'incubation a été motivé par un effort pour observer et tirer des inférences raisonnables concernant les effets à long terme des produits COVID-19, injectés en 13,4 milliards de doses dans 5,13 milliards de corps humains distincts, à la date du 8 avril 2024.
Un échantillon minuscule (0,03 ml) de chaque produit injectable (Pfizer 1, 2 et 4, Moderna, AstraZeneca et Novavax) a été ajouté à du sérum physiologique, de l'eau distillée stérile et à la solution de Hartmann, chacun contenu dans une boîte de culture distincte (soit une boîte de culture embryonnaire de 1,2 ml, une boîte de culture à 5 puits ou une boîte de Petri de 8 ml) à température ambiante (15~25 degrés Celsius, ajustée selon les changements saisonniers) sans ajout de matériaux spéciaux. Trois types de boîtes de culture ont été utilisés. La manière dont chaque boîte était couverte et maintenue dans des conditions relativement stériles minimisait le risque de contamination extérieure. Au cours des études d'incubation menées en parallèle, il existe de fortes preuves que aucune des boîtes de culture n'a jamais été contaminée par des bactéries ou des spores fongiques extérieures.
Au cours de toutes les études d'incubation menées en parallèle, il existe des preuves solides qu'aucune des boîtes de culture n'a jamais été contaminée par des bactéries ou des spores fongiques extérieures. Cependant, des entités étrangères ont été observées au fil du temps, comme suggéré dans l'illustration à main levée d'une boîte de culture. Des entités dimensionnelles (de une à trois dimensions) ont été vues se développer au fond de la boîte, se transformant progressivement en formes tridimensionnelles complexes qui semblaient animées ou capables de flotter dans le milieu fluide.
Figure 2. Différents récipients de culture avec des schémas dessinés à la main et des annotations en coréen et en anglais pour illustrer la configuration et la couverture des cultures incubées au fil du temps : à gauche, des récipients de culture vus de dessus ; puis, en lisant de gauche à droite, la vue de dessus est contrastée avec une vue latérale montrant le liquide à l'intérieur recouvert d'un couvercle transparent ; et à l'extrême droite, une vue latérale agrandie représente des objets géométriques dimensionnels (1 à 3) et des structures filamenteuses flottantes ainsi que des entités géométriques tridimensionnelles au fond plat du récipient, tandis que des rubans, spirales et objets filamenteux apparaissent plus haut, nageant ou flottant dans le milieu fluide.
Trois produits Pfizer, désignés ici sous les noms de P1 pour adultes, P2 pour enfants, et P4 comme rappel, ainsi que l'injectable Moderna COVID-19, ont été incubés dans diverses solutions avec certains produits chimiques et cristaux ajoutés afin d'observer leurs effets potentiellement thérapeutiques ou néfastes. Les solutions chimiques utilisées consistaient en dioxyde de chlore hautement toxique (ClO2), hypochlorite de calcium (Ca(OCl)2), et peroxyde d'hydrogène (H2O2), soigneusement examinées sous des conditions de dose contrôlées, c'est-à-dire en tenant compte étroitement des proportions des composants potentiellement thérapeutiques ou néfastes ajoutés à chaque solution.
Les solutions contenant des cristaux ajoutés comprenaient (1) diverses marques de colloïdes d'argent et d'or, du mica (un complexe minéral coréen), (2) de l'EDTA (acide éthylènediaminetétraacétique, un chélateur qui se lie facilement au fer et au calcium, avec la formule [CH₂N₂]), (3) de l'eau de silice, et (4) du bicarbonate de soude. Les réactions du plasma sanguin ont également été étudiées avec des échantillons séparés provenant de deux non-vaccinés. Chacun d'eux était composé du surnageant du sang total de la personne, séparé par sédimentation naturelle. L'échantillon de sang était simplement laissé reposer pendant environ 3 heures dans un récipient pour obtenir le plasma après que la plupart des cellules sanguines se soient accumulées dans la partie inférieure du récipient. Par la suite, les deux échantillons de plasma ont été incubés avec de petites quantités des injectables Pfizer et Moderna. En raison de l'approvisionnement limité en sang de chaque personne après qu'un ou deux échantillons de plasma aient été préparés, de l'eau distillée ou du sérum physiologique a été ajouté pour maintenir leur liquidité.
Tous les milieux ont été renouvelés chaque semaine, ou chaque fois que nécessaire, pour maintenir une consistance suffisante du liquide et éviter l'évaporation totale, ce qui produit une cristallisation accrue. Nous avons déduit de l'expérience antérieure avec les cristaux naturels dans divers milieux vivants que le séchage des fluides camouflerait toute structure réelle émergeant de nanomatériaux invisibles contenus dans les fluides. Avec cette idée en tête, notre approche a été conçue pour nous permettre d'identifier toute nanotechnologie auto-assemblante dans les injectables COVID-19 grâce à une microscopie plus intensive et à une science de laboratoire plus rigoureuse que celles appliquées auparavant. Nous supposons maintenant, sur la base de nombreuses heures d'observation des échantillons des injectables, que l'augmentation de la cristallisation du sel dans tout milieu par séchage aurait également tendance à entraver l'auto-assemblage de toutes structures nanométriques invisibles pouvant être contenues dans les injectables.
Il semble maintenant clair, d'après nos résultats (voir ci-dessous), qu'il existe des structures auto-assemblantes qui commencent sous forme de nanomatériaux invisibles dans les produits fluides qui ont été incubés dans diverses solutions. Nous aurons plus à dire sur ces structures devenant visibles grâce à l'auto-assemblage observable lorsque les fluides injectables COVID-19, en particulier les produits Pfizer et Moderna, ont été observés au fil du temps pendant une période allant jusqu'à un an. Un examen périodique sous le stéréomicroscope et des enregistrements des observations ont été réalisés et sauvegardés sous format numérique pour un examen ultérieur plus détaillé, intensif et récurrent.
Étude sur la chaleur, les EMF, la 5G et la lumière UV
a) Chaleur
Des échantillons de Pfizer et Moderna ont été ajoutés à des boîtes de culture de solution saline normale séparées et placés sur une plaque chauffante réglée à la température corporelle normale, soit 36,5 degrés Celsius, pendant 48 heures. Un examen microscopique a été réalisé avant et après l'exposition à la chaleur.
b) Chargeur sans fil avec téléphone mobile
Des échantillons de Pfizer et Moderna ont été utilisés pour cette étude dans des solutions séparées de solution saline normale ou d'eau distillée, après environ 101 jours d'incubation pour Pfizer et 36 jours pour Moderna. Les boîtes de culture ont été placées sur un téléphone mobile dans un chargeur sans fil, en mode streaming 5G, pendant 1 à 2 heures. Des mesures du champ électromagnétique (EMF) ont été effectuées à l'aide d'un dispositif de mesure Tri-phase (Figure) et ont révélé une intensité de 300v/m, 0 en champ H sur le chargeur sans fil. La température était d'environ 15 à 20 degrés Celsius.
c) Exposition au disque dur externe
Les mêmes boîtes de culture utilisées pour l'incubation des échantillons Pfizer (jour 101) et Moderna (jour 36) dans de la solution saline normale ou de l'eau distillée ont été placées sur un disque dur externe pendant 2 heures pour évaluer les effets potentiels des champs électromagnétiques (EMF). Le disque dur externe était connecté à un PC et activé pour effectuer diverses tâches de gestion de fichiers. Les mesures prises à la surface étaient d'environ 30v/m et 4μT dans le champ du disque dur. La température était d'environ 23°~25° Celsius.
d) Étude de la lumière UV
Les échantillons ont été placés dans des boîtes de culture séparées et exposés à la lumière ultraviolette pendant la nuit. Des examens microscopiques ont été réalisés avant et après chaque expérience, et des images vidéo ont été enregistrées et sauvegardées pour une analyse détaillée ultérieure.
Figure 3. Équipement pour le champ électromagnétique (EMF) utilisé : (a) un chargeur sans fil ; (b) plusieurs boîtes de culture placées sur le téléphone portable ; (c) l'appareil de mesure Triphase ; et (d) le disque dur externe pour une exposition supplémentaire.
Analyse biochimique des milieux de culture injectables
Pour isoler et comprendre indirectement les composants injectables, des tests de dépistage biochimique ont été effectués à l'aide d'une bandelette urinaire (Abbot, UroCro4, U040H012A). Pour éviter toute contamination possible provenant des milieux de culture, chaque bandelette a été exposée à une microgoutte de chaque milieu injectable. Le changement de couleur de chaque échantillon a été interprété à l'aide du colorimètre standard.
Modèle de recyclage
Pendant la période initiale d'incubation, des extraits de peau provenant d'un sujet injecté ont été placés dans une solution saline normale. Le donneur des extraits était une patiente souffrant des effets secondaires d'une crise paralytique survenue quelques jours après l'injection du produit expérimental à ARNm. Ses échantillons provenant de l'injection Moderna ont été anonymisés et codés comme Extrait 1 (E1). Lors de l'examen initial de l'extrait de peau, des particules environnantes sont apparues et semblaient montrer une relation symbiotique lors de l'observation directe sous le stéréomicroscope.
Après un mois d'incubation de l'E1, des particules en forme de graines, mesurant moins de 1 µm dans leur plus grande dimension, ont suffisamment grandi pour être observées flottant et se déplaçant autour de la portion principale de l'extrait de peau dans la solution saline du plat de culture. Les particules ont été soigneusement collectées et incubées dans différentes solutions salines normales pendant environ un an ou un peu plus.
L'examen régulier au microscope des changements de ces particules au fil du temps a d'abord été négligé car le chercheur a simplement oublié de faire les enregistrements. Cependant, l'incubation des extraits de peau a été maintenue dans une solution saline normale. Après 366 jours, le chercheur s'est souvenu de cet aspect des études en cours et, à partir de ce moment, des images haute résolution ont été examinées, enregistrées et conservées pour une analyse détaillée ultérieure.
Résultats
Examen microscopique direct des injectables
Concernant le sérum physiologique utilisé comme référence de contrôle, à un grossissement de 400X, aucun matériau flottant anormal n'a été observé (Figure a)). Cependant, dans 4 flacons de vaccin contre la grippe, 2 à 3 particules flottantes ont été vues au même grossissement élevé (Figure b)). De plus, 1 nouveau flacon d'AstraZeneca et 1 nouveau flacon de Novavax ont montré 1 à 2 particules flottantes de l'ordre de 1 à 3 µm sous le même niveau de grossissement (Figure c)).
Figure 4. (a) Contrôle de sérum physiologique comparé à (b) un vaccin contre la grippe et (c) un injectable AstraZeneca à un grossissement de 400X.
En revanche, tous les flacons restants et nouveaux des injectables Pfizer (y compris 2 nouveaux, avec 11 numéros de lot différents) ont révélé de nombreuses entités flottantes de formes variées, non identifiées, mesurant environ 2 à 100 µm dans leur plus grande dimension. Ces particules en mouvement libre ont été comptées algorithmiquement et estimées à environ 3 à 4 x 10^6 entités par millilitre. Parmi ces entités, environ 30 % avaient une forme semblable à un ver; il y avait également des tiges, des disques et des mélanges cristallins, mais les différents échantillons montraient des différences entre les flacons à la fois dans les formes prédominantes observées et dans la densité de ces formes.
Lorsque les échantillons Pfizer ont été incubés à température corporelle pendant deux jours maximum, ils ont montré davantage de développement, semblant devenir actifs, comme s'ils répondaient à un ordre de se transformer en diverses autres formes : des paires de vers en train de s'accoupler sont également apparues, ainsi que des disques superposés flottants, des sphères et des objets tubulaires allongés. Comparativement à l'échantillon Pfizer, les 7 flacons de Moderna contenaient un plus grand nombre de particules ainsi que davantage de structures artificielles en mouvement : des disques, des spirales, des chaînes perlées et des ensembles de spirales en forme de lustres.
Lorsque le processus de décongélation et de recongélation a été répété, il y a eu une augmentation des matériaux flottants non identifiés et des entités qui semblaient avoir été notablement activées. Lorsque le nouveau flacon original de concentré Pfizer a été examiné sous le stéréomicroscope, il ne montrait que quelques entités semblables à des vers en mouvement ou quelques petites particules. Cependant, lorsqu'il a été dilué dans un rapport de 1:6 (0,3 ml à 1,8 ml) avec du sérum physiologique, comme recommandé pour l'injection chez un être humain, le contenu semblait s'activer, révélant une profusion de diverses formes de tiges, de structures en forme de clé et d'autres formations en quelques minutes.
Ces nouvelles entités ne ressemblaient à aucune entité organique connue, naturelle ou identifiable (Figure 5b, nouveau Pfizer).
Tous les échantillons séchés des vaccins contre la COVID-19 ont été étudiés sous le stéréomicroscope. Les contenus des échantillons Pfizer et Moderna sont apparus sous forme de diverses formes géométriques, tandis que Moderna présentait des motifs géométriques irréguliers plus agrandis. En revanche, AstraZeneca montrait quelques petits disques de différentes tailles, tandis que Novavax présentait notablement moins d'entités de matière sombre et beaucoup moins de formations cristallines (Figure 5b, voir le côté droit). Le fait que la décongélation, le recongélation, et la décongélation produisent de tels changements pourrait montrer au moins une des raisons pour lesquelles les fabricants encouragent les utilisateurs à maintenir les injectables à des températures de congélation extrêmes (−70 °C pour Pfizer).
Réactions du Sang et du Sperme aux Injectables
Des expériences ont été menées pour évaluer les réactions du sang et du sperme dans des conditions précisément contrôlées. Nous avons utilisé une solution saline normale et le vaccin antigrippal VaxigripTetra comme comparaisons aux injectables COVID-19 (Pfizer, Moderna, AstraZeneca, et Novavax). L'objectif principal était d'évaluer la cytotoxicité des fluides COVID-19 lorsqu'ils entrent en contact direct avec des cellules vivantes.
Une micro-goutte de fluide COVID-19 a été placée sur une lame de verre où elle pouvait entrer en contact avec une goutte de plasma ou de sang total, permettant d'observer et d'enregistrer les interactions au fil du temps. Une goutte de sang total ou de plasma a été placée sur le côté gauche de la lame, tandis qu'une micro-goutte de l'injectable a été placée sur le côté droit. En exerçant une pression avec la lamelle de couverture, les fluides se rejoignaient au centre de la lame, où les interactions pouvaient être observées à intervalles réguliers (5-10 minutes, 30 minutes, 1 heure, 2 heures, et au-delà). Toutes les réactions ont été enregistrées avec une date et une heure précises.
Comme mentionné précédemment, le sang total a été prélevé dans une veine d'un participant non vacciné, et le plasma a été préparé par sédimentation naturelle. Les injectables COVID-19, en particulier le Novavax, ont montré des interactions significatives : des effets rapides et toxiques sur les cellules sanguines. D'autres injectables ont montré une toxicité relativement moins rapide, mais des effets néfastes similaires sont également apparus dans les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes. Les divers effets négatifs ont été comparés en termes de gravité au fil du temps et entre les échantillons dans les tableaux 2 et 3.
Figure 5. Résultats microscopiques directs observés en deux dimensions avec un grossissement de 400X : (a) Restes et nouveaux injectables Pfizer, observés directement ainsi qu'après incubation pendant 1 à 2 jours. (b) Moderna et 4 injectables COVID-19 séchés (Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Novavax).
Figure 6. Interactions observées pour le sang total (a)/plasma (b) avec Novavax à un grossissement de 400X : (a) En moins d'une heure, les cellules sanguines ont formé une barrière proéminente contre les contenus du « vaccin ». (b) Après 30 minutes, des agrégats sévères de globules rouges en rouleaux sont apparus dans l'échantillon de plasma.
Figure 7. Réactions du plasma après deux heures avec quatre injectables COVID-19 — Pfizer, Moderna, Novavax, et AstraZeneca : (a) Pfizer montrant un effondrement cellulaire (pycnose) des globules blancs et des plaquettes endommagées ; (b) Moderna avec des empilements de globules rouges (rouleaux) ; (c) Novavax avec la désintégration du noyau des globules blancs (caryorrhexie), des agrégations anormales de plaquettes, et quelques rouleaux de globules rouges ; et (d) AstraZeneca avec des rouleaux proéminents de globules rouges.
Il est à noter le comportement de chaque type de cellule sanguine, se mobilisant comme dans une bataille sur une ligne de front contre chaque injectable : les globules rouges contre Pfizer et AstraZeneca, les globules blancs contre Moderna, et les plaquettes contre Novavax. Malgré leur comportement observé, ces phénomènes spécifiques aux injectables pourraient être liés à leur pathophysiologie sanguine caractéristique : stase sanguine et hypoxémie (fatigue) due au motif en Rouleaux, suppression immunitaire due aux dommages aux globules blancs, et formation de caillots sanguins (ou tendance aux saignements) due aux dommages ou à l'agrégation des plaquettes.
Des études sur le sperme ont été menées avec les mêmes méthodes contrôlées appliquées dans les études sur le sang. Des échantillons de trois donneurs "vaccinés" contre la COVID-19 et d'un donneur "non vacciné" ont été examinés de la même manière que dans les études sur le sang. Les résultats sont résumés dans le tableau 4.
La mort progressive des spermatozoïdes s'est produite en quelques heures après exposition, même à faible concentration, aux différents injectables. Cette destruction rapide des spermatozoïdes n'était pas conforme à nos attentes initiales, mais était cohérente avec les réactions observées dans les échantillons de sang, où nous avons également constaté des dommages progressifs, mais moins rapides.
Comme pour les études sur le sang, Novavax a montré la toxicité la plus significative au contact des spermatozoïdes, entraînant une immobilisation rapide suivie de leur mort. AstraZeneca a montré des résultats mitigés, tandis que Pfizer et Moderna ont été constants dans leurs effets létaux progressifs sur chaque échantillon de sperme. Le sérum physiologique ou le vaccin contre la grippe ont conduit à une dégradation naturelle sans ajout notable de toxicité, avec une motilité maintenue seulement quelques heures. 24 heures ont été la durée de survie la plus longue observée chez les spermatozoïdes d'un jeune donneur en bonne santé n'ayant reçu aucun injectable contre la COVID-19. Une découverte exceptionnelle et rare a émergé.
Les cellules spermatiques de deux receveurs vaccinés avec Pfizer et incubées avec Pfizer ont survécu pendant 41 heures. Cela pourrait suggérer que les spermatozoïdes de ces deux hommes, ayant reçu le vaccin Pfizer, avaient été sélectionnés pour leur résistance aux dommages causés par ses composants. Il est possible que les cellules vulnérables aient déjà été détruites. Cependant, il est plus probable que la longévité des cellules soit liée à leur santé intrinsèque. En dépit de cela, tous les injectables COVID-19 ont montré un impact létal constant sur certaines cellules spermatiques en quelques minutes ou heures. Bien que les méthodes de production de la protéine spike diffèrent pour AstraZeneca et Novavax par rapport à Pfizer et Moderna, la protéine spike recombinante contenue dans Novavax s'est révélée particulièrement toxique pour les cellules vivantes.
Figure 8. Réaction du sperme aux injections de COVID-19 à une amplification de 200X : (a) sperme avec une solution saline normale ajoutée comme contrôle après deux heures ; (b) avec le vaccin antigrippal ajouté comme contrôle après 1,5 heure, montrant des cellules spermatiques avec une morphologie intacte et une réduction progressive naturelle de la motilité ; (c) 30 minutes après l'ajout de Pfizer-1, la motilité des spermatozoïdes montre une réduction rapide ; (d) une heure après l'ajout de Pfizer-1, toute motilité cesse ; (e) 30 minutes après l'ajout de Moderna ; (f) une heure après l'ajout de Moderna, toutes les cellules spermatiques sont immobiles ; (g) 30 minutes après l'ajout de Novavax ; (h) une heure après l'ajout de Novavax, toute motilité cesse.
En résumé les injectables COVID-19 ont des effets cytotoxiques directs sur les cellules vivantes, notamment sur les cellules sanguines (globules rouges, globules blancs, et plaquettes) ainsi que sur les cellules spermatiques. En plus de ces interactions observées, il est probable que des effets nocifs supplémentaires affectent les cellules vivantes et les systèmes corporels. Les équilibres normaux de pH, d'osmolarité, de température et d'électrolytes sont susceptibles d'être perturbés par les dommages au niveau cellulaire. Les échantillons des participants vaccinés ont systématiquement montré des effets néfastes immédiats ou progressifs directement attribuables aux matériaux injectés.
Les matériaux injectables ont montré des dommages observables attribuables à leur toxicité, bien que les effets varient selon les marques étudiées. Un contraste intéressant a été observé : les cellules spermatiques du participant non vacciné semblaient moins endommagées que celles des individus ayant reçu une ou plusieurs doses des vaccins COVID-19. Les raisons possibles de cette résistance observée chez le témoin S4 pourraient être liées à la jeunesse et à la bonne santé de ce participant.
Les résultats des études comparatives sur les milieux de sperme et de sang provenant des injectables incubés sont présentés dans le tableau 5 (voir annexe A). Dans les tableaux (5, 7, 8, 9, 10 et 11), un plus (+) indique la présence de structures étrangères non spécifiées, tandis qu'un moins (−) indique leur absence claire. Le degré d'observabilité de ces structures est signalé par deux (++), trois (+++) ou quatre (++++) signes plus. L'observation de structures douteuses ou ambiguës est indiquée par un signe plus et moins (+/−). Le degré auquel les structures étrangères sont à peine discernables est indiqué par un plus suivi de deux à quatre signes moins (+/−−−).
Alors que le sperme (S3) a été prélevé sur deux receveurs vaccinés et que les plasmas 1 et 2 proviennent d'individus non vaccinés, l'étude d'incubation montre une tendance plus apparente au développement de filaments, rubans et structures similaires à des puces dans le sperme que dans les plasmas. Cependant, nous ne connaissons pas la cause précise de la différence entre l'échantillon de sperme et les milieux de plasma. Malgré cela, dans les deux échantillons, il semble que les injectables COVID-19 pourraient produire des structures auto-assemblantes préprogrammées, bien qu'en moindre quantité dans le sperme de l'individu non vacciné.
Les effets cytotoxiques sur le sperme résultant de l'exposition à divers matériaux supplémentaires populaires ou boissons alcoolisées (comme le vin rouge, la bière, et les spiritueux coréens à 20 degrés), à la vitamine C, au mica, à l'eau de silice, à l'or colloïdal (GNP1), ainsi qu'à la concentration standard de désinfection de l'eau potable de l'hypochlorite de calcium (Ca(OCl)₂) ont été examinés. Nous avons également incubé des extraits de peau d'E1 (le participant anonyme mentionné précédemment) dans une solution saline normale sur plusieurs mois. Les résultats étaient les suivants :
La plupart des solutions semblaient être directement toxiques pour les cellules spermatiques. Elles ont perdu leur motilité et sont presque toutes mortes en quelques minutes, jusqu'à 1,5 heure pour le donneur non vacciné le plus jeune et en meilleure santé. Le mica a montré le plus faible niveau de toxicité, avec environ 10 % des spermatozoïdes encore mobiles jusqu'à 1,5 heure après exposition. Dans le cas le plus extrême observé, environ 0,1 % des spermatozoïdes du jeune homme en bonne santé étaient encore mobiles après un délai de 3 heures. Les spiritueux coréens ont montré l'effet toxique le plus immédiat et létal.
Il existe une limitation importante aux résultats précédents avec des cellules vivantes. Notre conception implique une sorte d'exposition in vitro en laboratoire ou d'incubation. De telles expositions ne sont que de loin comparables aux fluides introduits in vivo chez des êtres humains vivants en les injectant dans des tissus musculaires. Cellules sanguines et spermatozoïdes les cellules peuvent être affectées par le transport progressif de fluide sur des minutes et des heures en fonction de la situation.
Efficacité relative aux systèmes cardiovasculaire et lymphoïde de l'individu. Le transport peut être devrait être supérieur chez les personnes plus jeunes et en meilleure santé censé être supérieur chez les personnes plus jeunes et en meilleure santé —— les rendant potentiellement plus, pas moins, y les rendant plus, pas moins, susceptibles que les personnes âgées ayant des systèmes de transport de fluides moins efficaces susceptibles que les personnes âgées ayant des systèmes de transport de fluides moins efficaces —— à du type de dommage cellulaire au type de dommage cellulaire dont nos résultats démontrent qu'il se produit, le dommage que nos résultats démontrent se produit in vitro. in vitro.
Dans certains cas, des nanoparticules, ou d'autres matériaux non identifiés, pourraient pénétrer dans la circulation sanguine, traverser le sang, pénétrer dans la circulation sanguine, traverser la barrière hémato-encéphalique, la barrière cérébrale chez les deux sexes, chez les deux sexes, la barrière sanguine testiculaire la barrière sanguine testiculaire chez les hommes, et les barrières ovariennes et placentaires chez les femmes, chez les hommes, et les barrières ovariennes et placentaires chez les femmes, ayant un impact direct sur la fertilité et la santé fœtale, la fertilité et la santé fœtale, mais, mais un tel contact est vraisemblablement tel le contact ne pourrait probablement pas se produire ne pourrait pas se produire sous une forme aussi concentrée que celle que nous formons comme nous l'avons étudié expérimentalement.
En tenant compte de ces faits, nos résultats expérimentaux indiquent certainement certaines des conséquences à prévoir lorsque les fluides injectables COVID-19 sont transportés dans tout le corps par les systèmes cardiovasculaire et lymphoïde naturels. Pour mieux comprendre les effets réels dans le corps humain, nous avons tout mis en œuvre pour recréer une incubation stable à long terme plutôt que des examens à court terme. Notre objectif était d'examiner les impacts dilués et dispersés de manière à être plus comparables, vraisemblablement, à ceux qui se produisent chez les personnes vivant et étant affectées par les injections.
ÉTUDE D'INCUBATION POUR LES INJECTABLES
1) Résumé général de l'incubation des injectables
Pendant toute la période d'incubation qui a dépassé un an, aucun signe de contamination bactérienne ou fongique n'a été observé dans aucun des échantillons de vaccins à ARNm (Pfizer et Moderna). Cela est notable car nous n'avons pas utilisé d'antibiotiques ou d'agents antifongiques typiques communs aux études d'incubation de base. En raison de nos observations microscopiques directes dans une étude d'incubation à court terme antérieure non présentée ici, nous avons conclu que ces matériaux étrangers ne sont pas organiques, mais plutôt des organismes hybrides synthétiques ou possiblement des structures robotiques animées. Nous avons donc adopté une approche atypique de l'incubation. Notre approche diffère des méthodes de culture habituelles, qui fournissent périodiquement des agents de laboratoire tels que des antibiotiques et des agents antifongiques, ou d'autres désinfectants antibactériens ou antifongiques, qui peuvent altérer de manière significative la pureté des matériaux sous observation. La croissance, dans notre cas, a également été maintenue dans de petits contenants, mais sans apport supplémentaire d'O2 ou de CO2.
L'eau salée normale et l'eau distillée ont été choisies comme milieux d'incubation de base. Celles-ci étaient idéales pour le développement de structures étrangères perceptibles au microscope. À des fins de comparaison, d'autres solutions électrolytiques spécifiques (comme la solution de Hartmann, 0,001 % (1X) d'hypochlorite de calcium (Ca(OCl)₂), 3 % de peroxyde d'hydrogène (H₂O₂) et 1 ppm (1/100) de dioxyde de chlore (ClO₂)) ont également été utilisées comme milieux d'incubation. Selon nos résultats, ces derniers milieux étaient moins propices au déclenchement et à l'auto-assemblage de matières étrangères que l'eau salée et l'eau distillée normales, et pouvaient avoir agi pour supprimer le développement d'entités synthétiques auto-assemblées.
AstraZeneca et Novavax n'ont pas développé de structures auto-assemblées au fond du récipient, contrairement aux injectables à ARNm de Pfizer et Moderna. Les filaments dans la couche supérieure sont apparus très rarement et leur origine reste incertaine. Après une longue période d'incubation, AstraZeneca et Novavax ont été contaminés par des champignons et des bactéries, ce qui n'a jamais été le cas des cultures de Pfizer et Moderna. Les vaccins Pfizer et Moderna ont montré des motifs de croissance uniques et constants, avec des formes géométriques auto-assemblées observées entre deux et six mois.
Les injectables Pfizer et Moderna ont montré des motifs de croissance uniques et constants. La Figure 9 illustre le stade culminant des motifs géométriques artefactuels (totalement non naturels) à bords nets qui se sont auto-assemblés sur une période de deux à six mois à partir des injectables à ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna dans divers milieux au fond des plats de culture. La Figure 10 présente les différentes formes flottantes qui se sont développées progressivement dans la couche intermédiaire ou supérieure des plats de culture et qui ont maintenu leur intégrité structurelle jusqu'à aujourd'hui.
Au cours des premières semaines, diverses structures géométriques s'auto assemblés au fond du plat.
Semaine 1 : 1 Entités dimensionnelles, en forme de tige ou de forme rectangulaire plate simple en 2 dimensions des structures sont apparues.
Semaines 2 et 3 : des structures bidimensionnelles ou tridimensionnelles semblaient s’ajouter aux entités existantes au niveau bas.
A partir du jour 14, des structures tridimensionnelles bien faites ont été délogées du cadre d'origine à le fond et s'élève dans la couche supérieure (profondeur de la couche de fluide d'environ 6 à 8 mm). Voir la figure 2.
Dans les figures 11 et 19, nous rapportons les résultats des études d'incubation des ARNm injectables pour le toute la période d'observation. Les structures auto-assemblées, vraisemblablement fabriqué à partir de nanomatériaux qui n’étaient pas visibles sous notre pouvoir de grossissement. Nous étions limités jusqu'à un grossissement maximum de 400X. Cependant, d'étonnantes structures auto-assemblées de grande la diversité est devenue visible vers la cinquième semaine d’incubation. Ils étaient finalement constitués de rubans, bobines et structures semblables à des filaments. Ils se sont formés et se sont déplacés vers les couches moyennes et supérieures du milieux de culture contenant des fluides avec Pfizer et Moderna à partir du 37ème jour.
Concernant les structures assemblées dans la couche inférieure (comme le montre la figure 9), l'étape maximale de l'assemblage complet était présumé durer environ 2 à 6 mois d'incubation. Après cette période, un une désintégration progressive des structures a été observée, et les structures ont finalement disparues, à l'exception d'une trace résiduelle. Dans leur forme circulaire encapsulée, peut-être que la forme des restes signifiait une sorte de stade de développement dormant, comme on pourrait s'attendre à l'observer chez le stade préliminaire de développement d'un parasite Figure 11 k, l, m et Figure 19 j, k, l.
Il est intéressant de noter que dans l’eau distillée stérile, les échantillons Pfizer présentaient des spirales (bobines) plus développées, rubans, filaments, membranes, chaînes de perles, qui semblaient flotter dans la couche intermédiaire juste au-dessus la couche inférieure ou supérieure. Cela semble se produire après leur phase de croissance maximale au cours des dernières mois d'observation (figures 12, 13 et 14).
Figure 9. Résumé visuel montrant l'émergence et le développement de diverses entités géométriques au cours d'une période d'incubation de dix mois des injectables COVID-19 de Pfizer et Moderna. Le graphique indique que la phase de pointe de l'auto-assemblage géométrique se produit entre 2 à 6 mois d'incubation, indépendamment du type de vaccin à ARNm ou du milieu de culture utilisé. Après cette phase de pointe, les structures assemblées de type puce disparaissent progressivement.
Figure 10. Schéma de croissance des structures flottantes — rubans, spirales, filaments dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 dans les divers milieux et sous exposition à des champs électromagnétiques tout au long de l'étude d'incubation à long terme : Le graphique montre que les rubans ou spirales, ainsi que divers filaments, apparaissent et se développent progressivement jusqu'à la dernière étape de l'incubation, en particulier dans l'eau distillée et la solution saline normale. Diverses spirales sont apparues de manière transitoire pendant 2 à 6 mois d'incubation, en particulier dans l'eau distillée. Une structure semblable à un nanobot magnétique est apparue après environ 180 jours d'incubation, puis a disparu plus tard dans l'eau distillée. Un champ électromagnétique provenant d'un chargeur sans fil semble avoir particulièrement stimulé l'échantillon Pfizer à développer des filaments à la fois nombreux et avec une intégrité structurelle durable dans l'eau distillée et la solution saline normale. Le Pfizer 2 pour enfants, non exposé à un champ électromagnétique, est à l'origine plus dilué que le Pfizer 1 pour adultes, de sorte que la tendance au développement semblait imiter celle de Moderna. Bien que Moderna n'ait pas produit de structures filamenteuses abondantes par rapport à Pfizer, Moderna a montré relativement plus de structures filamenteuses et des structures plus durables dans l'hypochlorite de calcium. Ce phénomène semblait être légèrement stimulé par l'électrolyte Ca++.
Figure 11. Résultats de l'étude d'incubation de Pfizer pendant 372 jours ; (a) Jour 22, ce que nous décrivons comme une chaîne perlée (à un grossissement de 400X) ; (b) Jour 24, auto-assemblage géométrique en 2 dimensions au fond (à un grossissement de 200X) dans une solution saline normale ; (c) Jour 60, structures flottantes détaillées en 3 dimensions ressemblant à des puces (à un grossissement de 400X) dans l'eau distillée ; (d) et (e) jour 60, accumulation de structures en 3 dimensions semblables à des puces dans une limite de forme ovale (200X/400X) dans l'eau distillée ; (f), (g), (h), (i) Filaments flottants libérant des bulles à l'intérieur et à l'extérieur dans une solution normale au jour 95 (100X/100X/200X/200X) ; (j), (k), (l), (m) Changements dégénératifs progressifs dans l'eau distillée 200X (jour 82/jour 256/jour 306/jour 372).
Figure 12. Diverses bobines, rubans et spirales dans Pfizer, eau distillée : (a) Jour 60 (à un grossissement de 200X) ; (b) ~ (e) Jour 74 (à un grossissement de 200X) ; (f) Jour 176 (à un grossissement de 100X).
Figure 13. Chaînes perlées et structures assorties dans Pfizer, eau distillée (Jour 176, 400x) : (a) Diverses structures artificielles ressemblant à des satellites ; (b) Longues chaînes perlées rassemblées sur la surface centrale du milieu.
Figure 14. Spirales typiques de type algue ressemblant à des nanobots magnétiques dans Pfizer, eau distillée : (a) Jour 176 (400x) ; (b) Jour 337 (200x).
Dans ce qui semblait être le stade maximal de l'activité de développement, les échantillons injectables devaient être réapprovisionnés plus fréquemment en eau pour les empêcher de disparaître. C'était particulièrement le cas pendant la saison estivale où les formations décrites ci-dessus semblaient les plus actives. À l'approche de ce dernier une partie de ce que nous décrivons comme le stade d'activité maximale après environ 150 ~ 180 jours d'incubation robot bio nano magnétique de type algues spécifiques comme des bobines, des spirales irrégulières sombres, est apparu près du fond du milieu (Figures 15 et 16).
Après cette période, ce type de structures ont continué à maintenir leur forme jusqu'au jour 366 environ (et se poursuivent depuis lors dans les études d'incubation de Pfizer, montrant des filaments qui germent. Certains de ces filaments prennent l'apparence de faisceaux creux en forme de tubes se ramifiant vers l’extérieur (figures 15 et 16).
Filaments flottants, notamment dans l'échantillon Pfizer dans l'eau distillée transformé en quelques structures ramifiées puis transformées à nouveau en rubans allongés transparentes creuses ou en tubes minces, tout comme dans les images de la participante E2 développant des extraits sur la peau. Extraits de peau d'une personne vacciné avec Moderna sera présenté dans un prochain article) au jour 337 pendant l'incubation.
Dans la phase finale, vers le jour 337, des filaments d'apparence familière sont apparus dans la couche intermédiaire de l’échantillon Pfizer conservé dans de l'eau distillée.
Selon les matériaux, certains flottaient près du fond, d'autres au milieu. Des fils transparents ressemblant à des faisceaux de tubes creux flottant sur la surface du juste au moment où l'extrait de peau 2 (E2) est apparu et s'y est accroché comme un trépied avec un filament de pointe (comme la forme d'une ancre pour la connexion à un neurone) ou des rubans striés bouclés en forme de bulles. Voir les figures 15, 16, 17 et 18 pour plus de détails.
Les structures de l'échantillon Moderna semblaient se développer plus rapidement que ceux de l’échantillon Pfizer (peut-être parce que Moderna incluait une concentration plus élevée de particules). De la même façon, les structures Moderna ont également disparu plus rapidement. Dans une solution saline normale avec Moderna, des structures d'auto-assemblage sont apparues dans la couche inférieure montrant des figures artificielles ressemblant à des puces émergeant plus rapidement et abondamment, mais avec des filaments et des bobines moins développés (Figure 19).
Durant la phase maximale de croissance géométrique tridimensionnelle (2 à 6 mois), nous avons remarqué que les milieux d' incubation , conformément aux précédents, sont devenus progressivement troubles, présentant un aspect d'émulsion. Après avoir atteint cet état, les médias ont commencé à retrouver leur état transparent initial même si la présence de structures filamenteuses flottantes est resté évidente.
Dans le stade avancé de l'incubation de Moderna (jour 630 dans l'eau distillée, les nanoparticules sont réapparues flottant à nouveau comme on l'avait vu précédemment lors des premières observations microscopiques avant que la culture n'ait eu lieu. Cette réapparition suggère un modèle de recyclage que nous décrivons plus tard dans un modèle proposé Figure 27. Alors que Moderna n'a montré que quelques structures filamenteuses avec des extrémités fourchues uniques et quelques des faisceaux de nanofils transparents et fins, Pfizer, présentaient en revanche très peu de nanoparticules flottant à proximité immédiate des filaments ou des rubans, mais dans un fond largement débarrassé de nanodébris environnants
Figure 15. Divers filaments — rubans striés, apparaissant à un stade avancé (jour 316) d'incubation de Pfizer dans de l'eau distillée : (a) et (b) rubans striés en formation (100x) ; (c) filaments en croissance dans Pfizer (200x).
Figure 16. Faisceau de tubes fins et transparents ressemblant à des fils, avec des bulles se détachant, observé lors de l'incubation de Pfizer dans de l'eau distillée (jour 331); flottant dans la couche supérieure (a-40x/b-100x/c-40x).
Figure 17. Filaments striés ressemblant à un trépied dans l'incubation de Pfizer en solution saline normale (jour 346, 200x) : (a) Structures développées ressemblant à des trépieds ou (b) Motifs striés sur les filaments.
Figure 18. Rubans striés enroulés et bulles dans l'incubation de Pfizer dans de l'eau distillée (Jour 406 et 499) : (a), (b), et (c) rubans enroulés striés de manière unique dans Pfizer en eau distillée après 406 jours d'incubation (40X/100X/200X) ; (d) et (e) des bulles (flèches) sont apparues à la surface des rubans enroulés après 499 jours d'incubation (200X).
Figure 19. Assemblage géométrique de type puce, filaments, spirales, rubans et faisceaux de fils encapsulés dans l'étude d'incubation de Moderna jusqu'au jour 630 (100~400X) : (a) Jour 16 ; (b) Jour 40 ; (c) Jour 42 ; (d) Jour 125 ; et (e) Jour 126 (tous à 400x) en solution saline normale. (f) Jour 126, puces et filaments (100x) en solution saline ; (g) Jour 36, ressorts rarement observés dans l'eau distillée ; (h) et (i) Jour 42, petits rubans circulaires en solution saline (400x/200x) ; (j) Jour 295, bulles lobulées flottant dans la couche supérieure (100x) dans l'eau distillée ; (k) Jour 313, bande fendue à l'extrémité (200x) dans l'eau distillée ; (l) Jour 313, faisceaux de fils encapsulés bien emballés (400x) dans l'eau distillée ; (m) Jour 630, filament fendu à l'extrémité en solution saline (100x) ; (n) Jour 630, filament fendu à l'extrémité agrandi (400x).
Figure 20. Étude d'incubation de Pfizer et Moderna dans le plasma 1 et 2 (100x) : (a) Pfizer dans le plasma 2 pendant 133 jours (100x) — développement de courts filaments ; (b) Pfizer dans le plasma 1 pendant 146 jours (100x) — rien trouvé à part des cellules sanguines ; (c) Moderna dans le plasma 1 pendant 146 jours (100x) — seulement une trace fine de courts filaments.
Pendant le stade avancé de l'incubation Pfizer (jour 630), quel que soit le type de support (soit solution saline normale ou eau distillée), le produit injectable a montré une plus grande prolifération de structures filamenteuses que Moderna, y compris des rubans nettement bouclés sur un fond plus clair.
En résumé, l’étude d’incubation a donné des résultats tangibles. Diverses structures géométriques semblables à des puces assemblées au cours des deux premières semaines d’incubation et des structures tridimensionnelles plus complexes ont émergées puis se sont délogées de leurs gabarits au fond de la boîte de culture et ont migré vers la couche supérieure. Montrant des formes géométriques distinctes aux arêtes vives ainsi que de formes curvilignes évidentes. Après environ un mois, des structures flottantes ont fait leur apparition et ont continué à se développant sous forme de filaments, de spirales, de chaînes perlées, de structures satellitaires et de rubans. Cette étude, au-delà de la confirmation de la présence d'ingrédients suspects non déclarés dans la composition des injectables, peut encourager les chercheurs à tester une relation directe de cause à effet afin de confirmer l'auto-assemblage et les motifs de développement des diverses structures flottantes obervées. Bien que nous assumons provisoirement, d'après nos observations, que une telle relation soit évidente.
2) CHANGEMENTS DE DÉVELOPPEMENT DANS DIFFÉRENTS MILIEUX
Le sérum physiologique (N/S) et l'eau distillée (D/W) ont été choisis comme milieux d'incubation de base. Ces deux milieux ont formé des conditions idéales pour le développement de structures étrangères discernables au microscope, comme décrit précédemment dans la section des résultats.
Dans l'eau distillée, les deux injectables ont montré la plus grande variation de figures et de matériaux, tels que des spirales transparentes, des rubans, des bandes enroulées, des filaments allongés avec des bulles, etc.
À des fins de comparaison, d'autres solutions électrolytiques spécifiques (c'est-à-dire la solution de Hartmann, 0,001 % (1X) d'hypochlorite de calcium (Ca(OCl)₂), 0,03 % (1/100X) de peroxyde d'hydrogène (H₂O₂), et 1 ppm (1/100X) de dioxyde de chlore (ClO₂)) ont également servi de milieux d'incubation pour étudier leurs effets potentiels de détoxification ou d'aggravation. Bien que ces solutions aient été moins déclencheuses du processus d'auto-assemblage des matériaux étrangers au début de l'incubation, elles ont peut-être agi pour supprimer le développement des structures. Cependant, dans le cas de l'hypochlorite de calcium (Ca(OCl)₂) à 0,001 % (1X) et du dioxyde de chlore (ClO₂) à 1 ppm (1/100X), au stade intermédiaire (jour 111) de leur incubation avec Pfizer et Moderna, l'auto-assemblage des structures en forme de puce a progressé de manière similaire aux autres solutions de milieux d'incubation de base et a finalement produit également quelques filaments plus courts.
Au fond du milieu de solution de Hartmann, utilisé médicalement comme préservatif de volume plasmatique, il est intéressant de noter, contrairement à nos attentes d'un développement accru dans une solution riche en électrolytes, que les structures auto-assemblées de Pfizer et Moderna se sont montrées moins distinctement développées, apparaissant avec des bords émoussés et une forme irrégulière. À l'exception d'un reste de filaments, ces structures irrégulières ont finalement disparu dans un processus de désassemblage progressif. La réplication de cette étude bénéficierait de l'ajout de la solution de Hartmann plutôt que du sérum physiologique ou de l'eau distillée en tant que fluide de perfusion médical de base, comme nous l'avons décrit plus tôt. Un résumé des résultats apparaît dans le Tableau 7.
Dans l'étude dose-dépendante de l'hypochlorite de calcium, Ca(OCl)₂, en commençant par la concentration standard (1X, 0,001%) pour l'eau potable, des filaments plus développés sont apparus à une concentration plus faible. Pendant la phase initiale d'observation, des structures auto-assemblées sont apparues, mais elles se sont désintégrées plus rapidement que dans le sérum physiologique, peut-être en raison des perturbations causées par les électrolytes (perturbés par l'EMF dans l'environnement du plat) (Tableau 8 dans l'Appendice A).
Il est intéressant de noter que, lors de la phase initiale de l'étude dose-dépendante du dioxyde de chlore (ClO₂), en commençant par la concentration toxique de 100 ppm (1X) utilisée pour la désinfection des instruments médicaux, des structures similaires, mais moins assemblées, se sont formées, mais ont davantage flotté plutôt que de se déposer au fond, comme c'était typiquement le cas dans les autres milieux électrolytiques. Cette différence pourrait s'expliquer par les composants cristallins du ClO₂ qui pourraient entraver le processus d'auto-assemblage structural.
En général, à une concentration plus faible (inférieure à 1/161/32 x), des structures auto-assemblées se sont développées progressivement, mais davantage de filaments flottants se sont développés à une concentration plus élevée (supérieure à 1/16 ~ 1/32 x). Enfin, à la concentration plus forte et plus toxique de 11/2 x, aucun auto-assemblage ni structure flottante n'a été observé au stade initial.
Cependant, lors de la phase tardive de l'incubation à une faible concentration (1/400 ~ 1/200x), des fragments étaient encore rarement trouvés au fond au jour 230, mais à une concentration plus élevée, aucune structure auto-assemblée n'a été trouvée au fond à l'exception des cristaux propres au ClO₂. Un plus grand nombre de fragments ont été trouvés dans l'échantillon de Moderna que dans celui de Pfizer à une concentration plus faible (inférieure à 1/200x). Des filaments ont été trouvés à la phase tardive de l'incubation à une concentration plus faible, mais aucune structure n'a été trouvée à une concentration plus élevée (supérieure à 1/16x). Pfizer a montré plus de filaments que Moderna à une concentration plus faible (inférieure à 1/16x) (Tableau 9 dans l'Appendice).
Dans la solution de peroxyde d'hydrogène (H₂O₂) à 3 %, on s'attendait à observer des effets significatifs sur l'injectable via la peroxydase présente dans son contenu. Cependant, les résultats n'ont pas répondu à nos attentes. Au stade initial de l'incubation, aucune différence dose-dépendante observable n'a été remarquée, bien que des fragments bien développés soient apparus, mais en moindre quantité que dans une solution saline normale. L'échantillon de Moderna a développé plus de structures avec des caractéristiques plus discernables que celles de Pfizer dans les différentes concentrations de la solution de H₂O₂. Même après 203 jours d'incubation avec Moderna, des structures tridimensionnelles, telles que des fragments, étaient rarement présentes au fond dans une concentration de 1/200x, tandis que des structures unidimensionnelles à bidimensionnelles étaient trouvées dans la concentration de 1/200x. Des filaments ont été observés, mais ils étaient rares et relativement plus courts dans l'échantillon de Pfizer avec une concentration de 1/500x de solution de H₂O₂ après 203 jours d'incubation. Des traces unidimensionnelles à bidimensionnelles de structures en forme de fragments étaient encore présentes au fond, mais rien n'était observé à une concentration de 1/200x, seulement de faibles traces de structures unidimensionnelles contrastant avec celles observées dans l'échantillon de Moderna (Tableau 10 dans l'Annexe A).
Comme nous l'avons rapporté ci-dessus, à travers chaque étude dose-dépendante, ces trois solutions, lorsqu'elles sont utilisées à des concentrations plus faibles, n'ont montré aucun potentiel définitif pour un retour à la stabilité à partir des contaminations nanométriques, car, à des concentrations plus élevées, elles sont toxiques.
3) DIVERSES SOLUTIONS MINÉRALES
Les injectables Pfizer et Moderna ont été incubés avec de l'eau Si, 3 types d'or colloïdal (GNP2 inconnu, GNP3 à 5 nm en 10 ppm et GNP4 à 5 nm en 240 ppm) 1 type d'argent colloïdal (SNP, de taille et de concentration inconnues), EDTA (agent chélateur), Mica (minéral traditionnel coréen complexe), et Myrrhe pendant environ 300 jours. Les résultats sont résumés dans le tableau 11 (annexe A)
De manière significative, Pfizer dans la solution de silice, a montré moins de développement de puces auto-assemblées que dans d'autres solutions. Moderna a également montré une production progressivement moindre de copeaux qu’avec la silice. En ce qui concerne le développement des filaments, aucun des deux échantillons ne présente de différences dans les réactions à la solution de Si. Par conséquent, les doses d’eau de silice semblent avoir le potentiel perturber, dans une certaine mesure, le processus initial d’auto-assemblage des nanomatériaux.
Il est intéressant de noter la réaction à la fin de la phase d'incubation, au jour 258, des structures bidimensionnelles assemblées maintenues au fond de certaines boîtes de culture, notamment chez Pfizer et Moderna avec de l'or colloïdal 2 (GNP2) et Pfizer incubés dans de l'eau de silice. Dans l'argent colloïdal et le mica, une contamination bactérienne ou fongique s'est développée progressivement. Suggérant que l'effet artificiel recherché (effet antifongique antibactérien artificiel) a été progressivement diminué par ces types de minéraux, et non par ceux destinés uniquement à la voie orale. Dans la Solution d’EDTA, le processus d'auto-assemblage dans la couche inférieure n'a pas été significativement perturbé, les filaments ont commencé à apparaître de manière proéminente et abondante dans l'échantillon Moderna au cours du 253 jours d'incubation. Bien que les effets détoxifiants directs de l'EDTA sur les substances artificielles induites par injection, les polymères in vitro restent flous, mais les bénéfices indirects de l'argent colloïdal in vivo pourraient être réalisés à travers un effet chélateur.
En ce qui concerne le potentiel détoxifiant de la myrrhe, le matériau s'est révélé inadéquat comme moyen d’étude observationnelle en raison de sa turbidité et de sa solidification rapide. La seule action observable, au début de l'incubation, sont des bulles se formant au cours du processus de dessiccation. On ne sait toujours pas si la myrrhe contient des effets détoxifiants potentiels. Dans la solution hautement alcaline de bicarbonate de soude ( pH 9), Pfizer n'a pu développer aucun type d'assemblage et filaments jusqu'à 5 mois d'incubation (non illustré ici).
4) RÉACTIONS AU PLASMA
Cette étude impliquait l'observation de réactions à deux types de plasma provenant de sources non vaccinés, collecté à partir du surnageant du sang total via la sédimentation naturelle (debout pendant environ 3 heures dans un récipient), et en les incubant avec de petites quantités de produits injectables, Pfizer et Moderna.
Au début, le Les injectables ont commencé à développer des structures auto-assemblées (1 ~ 2 dimensions) parmi les cellules sanguines abondantes au fond de la boîte au cours des 7 premiers jours, mais seulement des traces d'auto-assemblage sont resté au 27ème jour d'incubation. Il est plausible qu'une quantité abondante de cellules sanguines, de globules rouges (GR), globules blancs (WBC), et plaquettes au fond de la culture aient perturbé le processus d'assemblage des injectables et empêché leur construction ou fait disparaître les matériaux. Cependant, il est clair que des filaments flottants ou des structures en forme de tuyaux aient commencé à émerger progressivement au cours de la dernière étape des études observationnelles après 131 et 146 jours d'incubation.
Les structures sombres ressemblant à des tuyaux et à des lassos dans le Moderna étant particulièrement évidentes dans les échantillons de plasma 1 et 2. Ces structures sont apparues avec des filaments.
Puisqu'aucune structure ne s'est développée dans l'échantillon de plasma 1, l'explication provisoire pourrait être que certains plasma possèdent des attributs permettant la création d'une énergie naturelle participant à une défense immunologique contre les processus d'auto-assemblage. Des tests supplémentaires permettront probablement d'en tirer davantage de conclusions définitives. Voir les détails dans les figures 20 et 21.
Figure 21. présente les résultats de l'étude d'incubation de Moderna dans le plasma 2 sur une période de 133 à 282 jours. Les images montrent le développement et la progression de structures sombres en forme de tuyau et de tubes en forme de lasso. Ces structures sont observées avec et sans bulles, certaines montrant des points de rupture à divers endroits. Au jour 282, ces structures conservent leur forme, malgré certains changements observés, comme la disparition des bulles. Les grossissements utilisés varient de 100x à 200x.
Figure 22. Montre les résultats d'une étude de chauffage réalisée sur le vaccin Pfizer. Après 48 heures de réchauffement à la température corporelle (36,5°C) dans une solution saline normale, des structures géométriques tridimensionnelles bien assemblées ont été observées flottant à la surface du milieu. Ces structures étaient similaires à celles observées pendant la deuxième à la troisième semaine de l'étude d'incubation non exposée, indiquant que le réchauffement a accéléré le développement de ces formations. Les observations ont été faites sous un grossissement de 400x.
ÉTUDE SUR LES CEM THERMIQUES ET LES EXPOSITIONS AUX UV 1) CHALEUR
Des boîtes de culture ont été placées directement sur un gabarit chauffant réglé à 36,5 degrés Celsius pendant la nuit. Le prochain suivant, des nanostructures assemblées ont été observées flottant à la surface du milieu dans un nombre plus important de formes perceptibles développées qu'avant l’exposition à la chaleur.
Deux à trois semaines ont été nécessaire à la croissance des structures à température ambiante (15~20 ℃) alors qu'une seule soirée a suffit pour une croissance équivalente à la température du corps humain (Figure 22). Le développement rapide de nanostructures in vivo sont probablement importantes suite à l’injection de vaccins pour le COVID 19 sur les êtres humains vivants.
Il semble plausible que ce type de structures assemblées ait réagi à la chaleur directe, se délogeant de leur place et se déplaçant vers le haut la couche du média. Lorsque les flacons résiduels fraîchement décongelés ont été incubés dans la solution saline pendant 48 heures, ils ont montré des structures tridimensionnelles plus détaillées et développées flottant à la surface du support (développement à vitesse accéléré) de 2 à 3 semaines.
2) EMF - Un chargeur sans fil avec un téléphone portable
La culture a été placée sur un téléphone portable en mode streaming 5G, sur un chargeur sans fil, pendant environ 1 à 2 heures. Des mesures électriques et magnétiques ont été effectuées à l'aide de l'appareil Triphase (voir Figure 3c). Le champ a été mesuré à 300v/m, avec 0 dans le champ H sur le chargeur sans fil. La température était d'environ 15 à 20°C. Les réactions dans la solution saline normale et l'eau distillée semblaient similaires. Même après une heure d'exposition au chargeur sans fil avec un téléphone en mode opérationnel, Moderna a montré des changements immédiats et visibles. Les matériaux flottants sont soudainement devenus plus grands et plus nombreux, avec des bords plus nets et plus rectangulaires (voir Figure 23)
Figure 23. Étude sur l'utilisation d'un chargeur sans fil pour Moderna dans de l'eau distillée (Jour 36, 200X) : Moderna a montré une réponse immédiate de multiplication et d'expansion juste après une heure d'exposition au chargeur sans fil. (a) avant l'exposition ; (b) après 1 heure d'exposition.
En contraste, Pfizer n'a montré aucune réponse immédiate, mais, après un mois d'exposition, a présenté un effet retardé, avec une prolifération modérée de filaments flottants (Figure 24).
Figure 23. Étude sur l'utilisation d'un chargeur sans fil pour Moderna dans de l'eau distillée (Jour 36, 200X) : Moderna a montré une réponse immédiate de multiplication et d'expansion juste après une heure d'exposition au chargeur sans fil. (a) avant l'exposition ; (b) après 1 heure d'exposition.
Dans les plats de culture Pfizer (Jour 101) et Moderna (Jour 36), après l'exposition au chargeur sans fil, des débris non identifiables, probablement des micro-matériaux, semblaient disparaître, laissant un fond propre.
B. Exposition au disque dur externe
Les radiations EMF à la surface d'un disque dur externe ont été mesurées à environ 30V/m et 4μT dans le champ H. La température se situait autour de 23~25°C.
Après deux heures d'exposition au disque dur externe connecté à un PC en mode opération, Moderna n'a montré aucun effet notable. Cependant, Pfizer a présenté des changements perturbateurs modestes, avec des lignes de démarcation légèrement floues sur les structures et des bords plus doux au fond des plats de culture. Après 101 jours d'incubation, les structures assemblées dans Pfizer, en eau distillée, se sont progressivement transformées en un nuage flou de figures plus perturbées et ont finalement disparu, ne laissant que des filaments flottants et des rubans attachés à diverses bulles. Cependant, après 2 heures d'exposition, la dégradation est apparue de manière plus notable, la plupart des bulles ayant disparu.
De manière significative, replacer le même plat de culture Pfizer (Jour 101) sur le chargeur sans fil pendant seulement deux heures d'exposition a partiellement restauré les structures à leurs formes originales plus nettes et plus claires (comme observé dans la culture du Jour 101). En d'autres termes, les diverses structures se sont réassemblées sous des formes similaires à celles avant l'exposition au disque dur externe. Voir la Figure 25 pour plus de détails.
Avec les résultats de cette étude préliminaire, on pourrait postuler qu'un certain type de courant électrique conditionné peut stimuler l'activité des nanostructures, tandis qu'un courant magnétique conditionné peut entraver leur activité. Selon notre hypothèse, certaines modalités de détoxification pourraient être efficaces pour traiter les organes endommagés par ces formes complexes d'exposition aux champs électromagnétiques (EMF)
Figure 24. Étude sur le chargeur sans fil pour Pfizer : (a), (b) et (c) filaments pétillants avant l'exposition, Pfizer dans de l'eau distillée, jour 95 (100x) ; (d) et (e) 1 mois après l'exposition, Pfizer dans de l'eau distillée, jour 126 (40x) – bulles disparues et multiplication supplémentaire.
Figure 25. Étude CEM (disque dur externe/chargeur sans fil) de Pfizer dans de l'eau distillée (200X), 101 jours d'incubation : étude Pfizer d'exposition à un disque dur externe pendant 2 heures au jour 101 d'incubation dans de l'eau distillée, puis suivie par exposition à un chargeur sans fil pendant 2 heures. (a) après 2 heures d'exposition à un disque dur externe – bords plus émoussés et alignement flou, plus dégradé qu'un changement de dégénérescence naturelle ; (b) après 2 heures d'exposition au chargeur sans fil immédiatement après l'exposition au disque dur externe, une légère récupération (effet de sauvetage) est apparue.
3) Étude UV
Aucune différence immédiate n'a été observée à court terme dans les caractéristiques des échantillons Moderna et Pfizer avant et après exposition aux UV. Cependant, après une incubation prolongée, les deux échantillons ont montré des structures auto-assemblées plus soutenues, contrairement aux schémas de développement ordinaires observés dans d'autres milieux sans exposition aux UV. Cela contraste avec l'auto-assemblage observé au stade de pointe sur six à neuf mois dans une étude d'observation en cours.
5. ANALYSE BIOCHIMIQUE DES DIFFÉRENTS MILIEUX DE CULTURE DES VACCINS
Un test de dépistage pour l'analyse biochimique du glucose, des protéines, du pH et du sang occulte via U stick (Abbot, UroCor4, U040H012A 0) a été effectué pour évaluer les changements dans les composants chimiques au cours d'une incubation à long terme des différents milieux de culture des vaccins. Le U stick, trempé dans le milieu de culture, a révélé des changements colorimétriques résumés dans les Tableaux 12 et 13 (Appendice A). Il est à noter que la plupart des milieux de culture translucides ont évolué de transparent à trouble, ce qui était le plus évident au jour 150. Cette progression s'est inversée pour revenir à son état original de translucidité au stade avancé de l'incubation (jour 250).
La solution saline normale (NS) a été utilisée comme contrôle pour l'étude et a montré toutes les réactions négatives attendues pour le glucose, les protéines et un pH de 6,0. Le premier jour, la plupart des milieux de culture dilués de Pfizer (P1, P2, et P4) et de Moderna dans de l'eau distillée ont montré des résultats suivants : une lecture positive mais faible pour le glucose ; une lecture négative pour les protéines ; un pH de 6,0 ; et une lecture positive mais faible pour le sang occulte. Le booster Pfizer (P4) a montré deux positifs dans le sang occulte, peut-être en raison d'un faux positif lié à des interactions avec le peroxyde. Il est important de noter que les résultats pour les protéines étaient négatifs le premier jour d'incubation pour tous les échantillons étudiés. La plupart des milieux de culture sont restés dans un état acide avec un pH de 6, tandis que le glucose a montré une lecture faiblement positive, sauf au cours de la première étape d'incubation du Pfizer dans l'eau distillée (jour 23). Bien sûr, le glucose aurait dû être détectable puisque la FDA avait rapporté que le saccharose était un composant des "injectables COVID-19", en particulier pour Pfizer et Moderna.Les pages restantes de la traduction seront publiées d’ici demain soir, vous pouvez revenir sur cette page dès sa publication. Merci pour votre soutien.
En outre, selon la description de la FDA, aucune protéine ne devrait être présente. Les détails sont présentés dans les figures 28 et 29 des pages suivantes. Bien que les protéines n'aient pas été détectées dans le milieu de culture de Moderna tout au long de la période d'incubation, elles ont néanmoins été présentes dans le milieu de culture de Pfizer, en contradiction claire avec la description de la FDA. Cela incluait deux lectures positives (100 mg/dl) au début de l'incubation (jour 23), qui sont devenues progressivement plus fortes, atteignant 300 mg/dl après incubation dans de l'eau distillée au jour 79, mais finalement devenues négatives à la fin de la période d'incubation (jour 288). L'apparition de protéines semblait être déterminée par les formes divergentes de milieux de culture. Dans la solution saline normale, une trace (10 mg/dl) a été trouvée au cours de la dernière étape de l'incubation (jour 266), mais aucune n'a été trouvée dans l'eau distillée pendant la même période d'incubation.
Certains milieux ont révélé une lecture positive (10 ~ 50 globules rouges/μl) pour le sang occulte, mais cette lecture pourrait être interprétée comme un faux positif en raison d'une exposition potentielle à l'hypochlorite ou à la peroxydase. Dans le bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude), cependant, Pfizer n'a montré aucun signe d'auto-assemblage au fond, peut-être perturbé par les cristaux de bicarbonate de sodium. Aucun matériau flottant n'est apparu, et le pH de 9 est resté stable même après un mois d'incubation. Cela pourrait être dû non pas à l'effet du pH différent, mais à une perturbation causée par la formation de cristaux au fond de la culture après exposition au bicarbonate de soude.
6. SCHÉMA DE RECYCLAGE
Lorsque les particules sombres en forme de graines, flottant autour du corps principal de l'extrait de peau (E1), ont été collectées et incubées dans une solution saline normale pendant 366 jours, elles ont montré un vestige ou une trace des structures géométriques auto-assemblées et quelques morceaux de filaments similaires aux résultats des études d'incubation d'ARNm d'origine. Nous pouvons postuler que les schémas de recyclage sont apparus entre les études d'incubation des injectables et la formation de matériaux en forme de graines provenant des extraits de peau anormaux du receveur (Figure 26).
Compte tenu du comportement à long terme des structures observées, nous proposons le modèle suivant qui suggère le type de schémas de recyclage qui semblent être présents dans les nanoparticules préprogrammées elles-mêmes. Ces schémas semblent coïncider avec une période d'inactivité de l'auto-assemblage. Lorsque les conditions ambiantes et internes adéquates sont réunies, nous supposons que ces conditions déclenchent l'activation des matériaux et la reconstitution des nano-circuits/structures comme décrit ici.
Figure 28. Ingrédients Pfizer
Figure 29. Ingrédients Moderna
Débat Ouvert
Depuis la déclaration de l’OMS d’un plan mondial pandémie le 11 mars 2020, violations des droits civils financées par le gouvernement et des droits de l'homme - déguisés en remédiation médicale de la pandémie — conduisaient en fait à des blessures et une oppression mortelle dans tous les pays du monde. Puisque les activités scientifiques supposent nécessairement un dialogue ouvert, une pensée critique et des tests rigoureux avant d’affirmer une vérité, nous soupçonnions, comme beaucoup d'autres chercheurs, que le programme pour répondre à la pandémie était nettement plus compliqué que ce qui avait été annoncé. De plus cette étude a également été motivée par l’apparition de la déclaration de l'OMS engendrant un conditionnement sans fin pour pousser chacun à une conformité globale et totale avec les autorités « sanitaires ».
Comme dans de nombreuses autres analyses similaires, certaines périodes de gestation, d'incubation ou de maturation sont nécessaires pour voir émerger diverses formes de vie, de compréhension ou d'objectif. Notre objectif dans cet étude a été d'expliquer des phénomènes déroutants qui ont émergé au fil du temps, en particulier en ce qui concerne les processus d'incubation, de gestation et de maturation impliqués dans diverses autres études. En examinant ces aspects, l'article vise à fournir une compréhension plus claire d’objets complexes et de phénomènes apparaissant au microscope, mais aussi de leur développent à partir des études d'incubation pour une meilleure compréhension du narratif du Covid 19.
Nous commencerons en faisant référence à la déclaration publique de la FDA concernant les produits injectables à ARNm commercialisés par Pfizer et Moderna contenant les ingrédients rapportés dans les figures 28 et 29. Dans la présente étude, Segalla (2023a, 2023b, 2023c) a Il a été démontré que bon nombre des ingrédients cités dans les figures 28 et 29 sont extrêmement toxiques.
Figure 26. Étude des modèles de recyclage - Modèle de recyclage présumé de l'extrait cutané (E1) du sujet vacciné Moderna dans une solution saline normale : (a) de minuscules particules sombres ressemblant à des graines (flèches) flottant autour de l'extrait cutané 1 (E1) dans le milieu salin normal ( 400x); (b) de minuscules particules dispersées autour de l’extrait de peau du vacciné, une structure sombre ressemblant à une peau de crocodile (100x) ; (c) Culture de graines E1 dans une solution saline normale - trace de l'auto-assemblage au fond et filaments flottants ensemble après le jour 366 d'incubation (100x); (d) et (e) Trace des structures géométriques auto-assemblées au jour d'incubation 366 (400x).
Figure 27. Proposition d’un modèle de recyclage et ré-assemblage
En résumé, ces produits incluent le codage modifié de la protéine de pointe - ou spike - induisant l'ARNm soupçonné d'avoir causé les dommages induits par les caillots blancs évoqués par Santiago et Oller ( 2023 ) ainsi que avec d'autres (par exemple, Mead et al., 2024a , 2024b , 2024c )); la nanoparticule lipidique utilisée comme support (dont les dangers ont été étudiés par l’étude Segalla); divers adjuvants dont des nanoparticules lipidiques destinées à la stimulation immunitaire ; et des chicanes intégrées constituées de méthylpseudouridines N1 substitué à l'uracile dans le codage de pointe pour ralentir la dégradation de l'ARNm chez l'humain.
En outre, AstraZeneca et Janssen rapportent qu’un ADN codé par la protéine Spike puis encapsulé par Adenovirus est contenu dans ces formulations. Et Novavax est connu pour être un injectable à base de protéine de pointe recombinante. Les protéines de pointe de bio-ingénierie sont récoltées et assemblés sur une nanoparticule lipidique synthétique d'environ 50 nanomètres de diamètre, chacune affichant jusqu'à 14 protéines de pointe.
Dans cette étude nous avons observé des réactions aux quatre types d’injectables COVID 19 ci-dessus avec le sang, le plasma et le sperme, Novavax ayant montré les effets cytotoxiques les plus rapides. Cependant, Pfizer et Moderna étant à base d'ARNm ont montré des effets plus progressifs mais aussi encore plus nocifs, voire mortels pour le sang vivant et les spermatozoïdes. Ils ont en outre donné lieu à des puces géométriques à auto-assemblage sans précédent, telles que des structures en rubans, des structures filamenteuses et des structures encapsulées à l'intérieur d’autres structures.
Tandis que nous supposons que les ingrédients et composants annoncés dans les figures 28 et 29 sont en réalité présentes dans les produits soutenus par le gouvernement, fortement commercialisés, des examens plus approfondies et nos propres recherches expérimentales montrent qu'il doit également y avoir des nanomatériaux inopinés et invisibles sans un examen microscopique standard. En outre, malgré les rapports soumis à l' examen public décrivant ces ingrédients, plusieurs études supplémentaires excluraient la présence d'ADN ou d'ARN ordinaires sur la base d'absence de phosphore et d'azote, étant normalement abondants dans ces macromolécules (Hagimă, 2023a).
Des experts en génomique ont récemment découvert que le gène SV40 favorisant le cancer est présent dans le Produits injectables COVID 19 Pfizer et Moderna (Murakami, 2023 ; McKernan et al., 2023 ). Le le lien avec le cancer a été bien établi (Shah, 2006). Si la protéine de pointe est produite par l’ARNm programmé injecté, comme supposé, le résultat pourrait déclencher une variété d'effets toxiques pour plusieurs organes dont des vaisseaux qui, à terme, pourraient induire des défaillances multiviscérales endothéliales inflammatoire, détruire l’empreinte immunitaire et provoquer des tempête de cytokines (Blaylock, 2021 , 2022a , 2022b )).
Le le contenu de l’injection pourrait endommager les mitochondries intracellulaires et les gènes p53 et ainsi saboter le fonctionnement de l’organisme, comme sa capacité à réparer l’ADN endommagé, à induire un épuisement du système immunitaire, à déclencher de fréquentes mutations génétiques et les cancers, diverses maladies auto-immunes, ainsi que la stérilité (Alavi & Kheradvar, 2012 ; Xie et al., 2021 ; Idrees et Kumar, 2021 ; Classe, 2021 ; Seneff et al., 2022 ; Gat et al., 2022 ; M ead et al., 2024a , 2024b , 2024c.
Dans l'analyse biochimique du milieux de culture injectables, la découverte la plus significative a été la présence de protéines. Si les milieux sont alcalins, ou s'ils contiennent de la chlorhexidine (0,25%), ils pourraient provoquer des faux positifs. Si il n'y a eu aucune exposition à la chlorhexidine comme notre étude l'a assuré, comment et à partir d’où les protéines ont-elles pu émerger ?
Pendant la période d'incubation initiale, la présence de protéines n'a pas été détectée. Sans contamination bactérienne, les protéines ne pouvaient être produites que par l'injectable lui-même dans l'eau distillée ou dans la solution saline normale. Selon la synthèse de protéines sans cellule, décrite par Endo (2021), les bulles observées dans notre étude pourraient être le résultat de protéines auto-synthétisées, qui pourraient être toxiques.
Ce qui est particulièrement intéressant, c'est la progression des protéines qui était initialement indétectable, puis détectable (du jour 23 au jour 82) et finalement à nouveau indétectable. Nous avons découvert ce qui semblait être initialement une relation fortuite entre (a) les schémas de développement des nanostructures auto-assemblées (pic de développement entre 2 et 6 mois), (b) le comportement de l'hydrogel (initialement transparent pendant 2 à 3 semaines, devenant ensuite une émulsion gélatineuse jusqu'au jour 150, et revenant finalement à sa consistance transparente), et (c) la production de protéines dans une certaine mesure. Des études supplémentaires sont nécessaires pour clarifier les questions centrales concernant ces trois relations dynamiques apparentes. En se référant à l'analyse de Burkhardt (2022), nous rappelons aux lecteurs les effets de la protéine spike et la synthèse de nombreux types de matériaux protéiques découverts dans les caillots sanguins (environ 323 types de protéines), en particulier 4 types provenant de lésions du tissu endothélial.
Étant donné les analyses que nous proposons ici, nous émettons l’hypothèse que les matériaux présents dans les produits injectables produisent non seulement la protéine spike rapportée publiquement, induite vraisemblablement par l'ARNm modifié, mais qu'il semble également y avoir diverses sécrétions de protéines toxiques anormales, probablement dues soit à la présence des nanostructures elles-mêmes, soit à des bactéries de domaine croisé via la biologie synthétique hybride (Maervoet et al., 2017). Une analyse plus approfondie est encouragée.
En signalant que des erreurs de traduction de L'ARNm modifié pourrait produire une synthèse protéique anormale et stimuler le système immunitaire humaine à reconnaître les anomalies en tant que protéines étrangères, Paul Marik et ses collègues (Front line COVID 19 Critical Care Alliance, 2023) ont prouvé le risque de maladies ribosomiques provoquées par le remplacement de l'uridine par la N 1 méthylpseudouridine pour éviter son émission naturelle et pour assurer un développement durable des antigènes, avec la synthèse des protéines de pointe (Mulroney et coll., 202 4 ). Certains chercheurs ont publié des études montrant que les injectables contre le COVID 19 pourraient être la cause de physiopathologie de l'amylose et de maladie à prions ( Perez et al., 2022 ; Classen, 2023 ; Leung et coll., 2023)
Selon Dhuli et al. (2023), utilisant des méthodes de spectrométrie de masse pour analyser le sérum dans le sang de patients affectés de « COVID long », la protéine de pointe virale et la protéine de pointe injectable ont été trouvées en même temps lors de l'analyse. Cette découverte signifie que le « COVID long » pourrait être corrélé tant à la protéine spike virale qu’à celle induite par les solutions injectables.
De manière significative, les deux protéines spike différaient considérablement. Leurs travaux semblent confirmer qu'un décalage du cadre de lecture ribosomique se produit après l'injection, ce qui renforce l'hypothèse selon laquelle une production anormale de protéines pourrait également se produire. Si ces observations sont valides, la synthèse anormale de protéines discutée précédemment pourrait déclencher une variété sans précédent de maladies, comme celles décrites, par exemple, par Mead et al. en 2024.
Grâce à nos études observationnelles d'échantillons de sang et de sperme (composés en grande partie de cellules vivantes), les injectables COVID 19 ont montré une cytotoxicité constante, mais à des degrés divers Novavax et AstraZeneca, en particulier, ont montré des effets toxiques encore plus rapides que Pfizer et Moderna même si les premiers ne sont pas des produits à ARNm. Cette variabilité pourrait s'avérer significative face aux preuves croissantes de la cytotoxicité de la protéine de pointe elle-même.
En plus des séquelles mentionnées ci-dessus des infections ou injections, de nombreuses preuves médicales ont été rapportées concernant les caractéristiques toxiques de la protéine spike. La perte de fibres élastiques pourrait induire un vieillissement cutané rapide et une rupture vasculaire. De plus, des rapports d'autopsie rédigés par des professionnels de la santé et des embaumeurs ont noté une augmentation significative des signes de thrombose bizarre, probablement due à la présence de caillots fibreux extrêmement allongés, jamais observés auparavant, distincts des caillots sanguins ordinaires, extraits de presque tous les systèmes de conduits transportant des fluides dans le corps.
Comme nous l'avons rapporté ici, nous avons isolé de nombreux matériaux non identifiés, mesurant quelques micromètres, au-delà des nanoparticules décrites dans les rapports de la FDA concernant les injectables à ARN messager, notamment dans les produits Pfizer et encore plus dans ceux de Moderna.
Après avoir mené diverses expériences et études d'observation minutieuses, nous en déduisons que les matériaux et leurs stades de développement observés ne sont pas naturels. Ils sont synthétiques, semblant obéir à un processus bien programmé d'auto-assemblage structurel. Le fait que leur production finale provisoire puisse être décrite comme artificielle a déjà été suggéré dans de nombreux articles référencés jusqu'à présent.
Les résultats des expériences d'exposition à la chaleur et à l'énergie électromagnétique ont été significatifs : des expositions à court terme ont montré des changements remarquables dans les structures auto-assemblées. Il a été démontré que les radiations ultraviolettes, la lumière visible, la température, l'azote, les sources de carbone dans l'air, les champs électromagnétiques, diverses fréquences d'ondes et d'autres facteurs peuvent déclencher des réactions des nanoparticules, les amenant soit à s'assembler, soit à se désassembler en fonction de ce qui semble être des structures pré-programmées.
Suberi et al. (2023) ont rapporté des développements récents concernant un nouveau véhicule d'administration d'ARNm utilisant des polyplexes optimisés biocompatibles à base de poly(amine-co-esters). Ils notent que ce nouveau système est un polymère hautement personnalisable pour la livraison de vaccins par inhalation aux poumons. Si ces injectables antérieurs sous forme de nanoparticules programmées, qui produisent ensuite des polymères, sont introduits dans le deltoïde des receveurs, comme cela a été fait avec des échantillons aléatoires expérimentaux, la prochaine génération de "vaccins" pourrait être administrée par inhalation nasale ou par patchs cutanés utilisant des matériaux similaires à base de polymères via des nanoparticules programmées.
Sasha Latypova, une cadre et chercheuse dans l'industrie pharmaceutique, a découvert une déviation extrême des effets secondaires entre les lots d'injectables à ARNm contre la COVID-19. Dans un contexte normal, ce genre de variation serait intolérable pour des produits pharmaceutiques ordinaires soumis à une surveillance rigoureuse par des organismes de réglementation suivant des protocoles établis. Cependant, comme le public est continuellement rappelé, nous vivons dans une « nouvelle normalité ». Pour comprendre cette déviation évidente par rapport à l'ancienne norme, on peut envisager l'intentionnalité. Ces produits étaient censés servir avant tout d'injections expérimentales pour l'ensemble de l'humanité, y compris toutes les ethnies, sexes et groupes d'âge.
Cette description correspond à la lettre d'approbation de la FDA pour le produit Comirnaty (produit Pfizer ; FDA, 2021), la condition post-commercialisation pour les nourrissons de moins de 6 mois, la fin de l'étude prévue pour le 31 juillet 2024, et le rapport final à soumettre avant le 31 octobre 2024. Il est à noter que dans les documents accompagnant les produits injectables, tous les détails concernant les usines où ils ont été fabriqués ont été clairement occultés, ce qui soulève des questions plus larges sur la confidentialité et le consentement éclairé.
En ce qui concerne l'exposition des vaccins à l'énergie électromagnétique, des observations préliminaires montrent que les matériaux contenus dans les injectables réagissent positivement aux chargeurs sans fil pour téléphones portables, tout en réagissant négativement aux disques durs externes. En tant que matériaux sensibles aux fréquences électromagnétiques, il est plausible que les contenus des injectables soient conçus pour agir comme une sorte de semi-conducteur. De nombreux chercheurs ont attiré l'attention sur les effets biohazardés potentiels des champs d'énergie électromagnétique sur le corps humain, notamment en provoquant la cancérogenèse, la neurodégénérescence, des dommages aux cellules reproductrices et des dommages cellulaires fœtaux en développement rapide.
Les chargeurs sans fil ou les disques durs externes sont des appareils électroniques personnels utiles et très courants. Si les personnes ayant reçu les injections expérimentales (les "vaccins") ont ces matériaux circulant dans leur corps et utilisent ces appareils électroniques, ces derniers pourraient, au-delà de l'exposition habituelle aux champs électromagnétiques, augmenter les risques pour leur santé, en particulier en ce qui concerne la régénération cellulaire, car les contenus des vaccins réagiraient de manière synergique avec les radiations ambiantes.
Si le contenu des injections est en partie conçu pour servir à la fois de logiciel et de matériel pour la construction clandestine de réseaux intracorporels, comme le suggèrent Kyrie et Broudy (2022), il est probable que ces contenus interagissent avec les champs d'énergie électromagnétique à l'extérieur du corps. À l'heure actuelle, alors que les réseaux de communication mobile évoluent vers des versions 6G et 7G, il est essentiel que des chercheurs reproduisent ces efforts ou mettent en place des études alternatives pour mieux comprendre les effets potentiels à distance sur la biologie humaine, animale et végétale. Malgré les spéculations concernant l'utilisation des produits injectables COVID-19 et le développement de réseaux corporels sans fil (WBAN), davantage de travaux interdisciplinaires sont nécessaires. Ces études pourraient contribuer au développement de modalités de traitement électromagnétique pour les individus cherchant des alternatives aux protocoles de chélation standard ou souhaitant se soustraire à un environnement pollué par les énergies électromagnétiques.
Les études d'incubation ont également montré que l'eau distillée est un milieu idéal pour révéler des changements uniques dans la croissance des contenus injectables. Comme l'eau distillée est non altérée et n'est pas perturbée par ses propres propriétés électrochimiques, nous supposons qu'elle a un potentiel latent pour manifester les voies de développement spécifiquement conçues, les caractéristiques prévues des contenus injectables, et pour réagir, comme programmé, de manière facilement observable à l'énergie électromagnétique.
Dans la réaction plasmique, nous supposons que le processus d'auto-assemblage des nanomatériaux a été entravé par la profusion de cellules sanguines au fond de la boîte, où l'espace pour l'auto-assemblage était déjà occupé. Cependant, après un mois d'incubation, très peu de petites particules ont été trouvées au fond de la boîte de plasma et ont ensuite disparu. Plus tard, des filaments et des structures tubulaires, bien que relativement petits et peu nombreux, sont apparus et ont maintenu leur morphologie jusqu'à un stade avancé de l'incubation. Cette observation indique que l'assemblage initial au fond n'est pas une condition préalable au développement ultérieur des structures filamenteuses. Par conséquent, in vivo, il pourrait être possible de produire divers nanofilaments ou nanotubes de carbone sans aucune condition préalable.
Lors de l'analyse des caillots sanguins provenant de personnes vaccinées, quelques structures filamenteuses ont été trouvées attachées à des caillots blancs brunâtres homogènes extraits de la couche médiane du sédiment sanguin total. Lorsqu'ils sont à proximité d'un champ électromagnétique, ces filaments pourraient potentiellement déclencher la formation d'un caillot et, ainsi, perturber la circulation libre du sang ou de la lymphe. Étant donné leur taille microscopique et leur large distribution dans tout le corps, si ces matériaux étrangers interagissent avec des sources d'énergie internes ou externes, comme le suggère la littérature, ils pourraient bien s'allonger, s'agrandir et servir de mécanismes mystérieux de morbidité et éventuellement de mortalité.
Au-delà de la pathophysiologie décrite précédemment, le travail théorique en nanotechnologie présenté dans des décennies de littérature semble se concrétiser dans l'application pratique des « vaccins » à ARN messager, en particulier chez Pfizer et Moderna. Des observations anecdotiques de patients ayant subi diverses blessures soudaines et extraordinaires après le déploiement initial des « vaccins » ont déclenché nos recherches, tant dans les études d'incubation en laboratoire que dans la littérature publiée sur la biologie, la nanotechnologie, la science des champs électromagnétiques et l'ingénierie des matériaux. Les études d'incubation menées à partir du contenu des « vaccins » originaux ont permis d'identifier divers matériaux étrangers et de mieux comprendre leur pathophysiologie potentielle in vivo. Cependant, d'autres chercheurs ont avancé l'hypothèse que ces matériaux pourraient simplement être du chlorure de sodium (NaCl) ou d'autres contaminants, et que leur comportement observé serait simplement le résultat d'une cristallisation naturelle. Cette classe d'objections peut être abordée en faisant appel à la physique.
Les fractales sont connues depuis longtemps pour se former dans des dimensions linéaires selon des motifs réguliers et prévisibles. Lorsque les conditions environnementales sont optimales, comme l'oscillation dans l'univers matériel, les fractales développent des dimensions structurelles plus élevées (Dubuc et al., 1989). De plus, il a été largement observé que les résidus de la plupart des solutions évaporées présentent des cristaux similaires, notamment du NaCl et divers types d'électrolytes, voire même dans l'eau elle-même via le mécanisme hydroglyphe (Wakeling cité dans Bailey, 2022). Il était donc nécessaire que les injectables soient cultivés dans des milieux maintenant un état liquide ininterrompu pour vérifier que ces types de structures auto-assemblées ne sont pas les mêmes que les cristaux naturels induits par les processus d'évaporation normale.
Il est important de noter que la technologie mRNA est souvent commercialisée en tant que logiciel, semblable à un système d'exploitation ou une plateforme technologique (selon le site de Moderna). Bien que la caractérisation initiale de la technologie mRNA comme un programme informatique ait été supprimée de leur site, nous la rappelons ici pour souligner leur concept prototype :
« Reconnaissant le potentiel étendu de la science mRNA, nous avons créé une plateforme technologique mRNA qui fonctionne comme un système d'exploitation sur un ordinateur. Elle est conçue pour être modulable avec différents programmes. Dans notre cas, le “programme” ou l’“application” est notre médicament mRNA — la séquence mRNA unique qui code pour une protéine » (Moderna cité dans de nombreux articles, voir par exemple Reuters, 2021 ; Martin, 2024).
Les motifs géométriques de la plupart des structures auto-assemblées, similaires à des circuits électroniques ou des structures tridimensionnelles de type puce, se sont progressivement dégradés après environ 80 jours d'incubation du rappel Pfizer (injection numéro 4, P4), qui suit une chronologie différente des autres injections (P1, P2 et Moderna), tout en présentant des schémas de dégradation similaires. Cela signifie que les nanomatériaux injectés semblent programmés pour se comporter comme observé et pour effectuer des cycles réguliers d'auto-assemblage et de désassemblage. Nous théorisons que l'ensemble du processus doit être renforcé périodiquement, probablement par le biais du régime prescrit de nouvelles injections de rappel selon les recommandations du CDC.
Parfois, d'autres chercheurs ont rapporté des observations microscopiques de structures filamenteuses dans des solutions salines commercialisées. Malgré des similitudes apparentes avec les filaments injectés, les structures trouvées dans la solution saline présentent des différences légères dans leur comportement et leurs schémas de croissance. Des structures inhabituelles ont été remarquées : des rubans striés et bouclés uniques ainsi que divers filaments à l'aspect de peau de serpent, qui semblaient contenir des compartiments creux similaires au bambou dégageant des bulles. Ces structures se sont multipliées dans le milieu, devenant allongées, torsadées, nouées, décolorées et variées en texture.
Lors de nos études d'observation, les filaments qui semblaient émettre des bulles étaient constamment actifs. Nous insistons sur le fait que des études supplémentaires sont nécessaires pour différencier si ces filaments proviennent du milieu de base ou du produit injectable lui-même. Quoi qu'il en soit, isoler leur origine pourrait représenter une découverte significative pour déterminer si de nombreux autres produits pharmaceutiques et/ou procédés de fabrication sont déjà contaminés par la nanotechnologie. Il est préoccupant de penser que cette technologie secrète pourrait ne pas se limiter aux injectables COVID-19. Des structures géométriques auto-assemblées très détaillées, présentant des angles droits, ont été observées au fond des boîtes de culture (dans un état liquide bien entretenu), tandis que des structures flottantes désorganisées sont apparues dans la couche supérieure au cours des premières semaines.
Ce processus de morphologie dynamique et changeante représente un indicateur clé d'un autre type de schéma de recyclage, probablement lié à l'injection et à la production d'extraits de peau observables à partir d'études d'incubation à long terme. De plus, les faisceaux et les rubans pourraient être constitués de silice durable et résistante, ou bien de nanotubes polymères enrobés de graphène ou de nanofils similaires, servant de conducteurs ou de semi-conducteurs capables de résister à des températures allant de 1000 °C à 4000 °C, selon la littérature de recherche pertinente (Hagimă, 2023b). Bien que la présence de matériaux étrangers dans le corps humain déclenche divers processus naturels de détoxification, certains matériaux persistent malgré toutes les tentatives de chélation ou de démantèlement. L'aluminium, par exemple, est connu depuis longtemps pour se loger dans le cerveau pendant de longues périodes, entraînant souvent des troubles neurologiques et des maladies (Shaw, 2017). Nous déduisons de nos observations qu'une discussion critique sur les traitements possibles ou les régimes de détoxification est nécessaire.
En ce qui concerne les sujets testés qui ont été vaccinés dans un délai d'une à deux semaines, l'eau de silice pourrait être utile car elle pourrait potentiellement perturber le stade précoce de l'assemblage des structures similaires à des puces. À un stade ultérieur, disons trois semaines après l'injection, il a été observé que l'or ou l'argent colloïdal (de 3 à 5 nm de diamètre et 10 à 20 ppm) s'attache, perturbe, dégrade activement et finit par dissoudre diverses nanostructures. Les résultats à long terme de ces protocoles de traitement sont en cours d'examen dans des expériences continues. La mica a également montré des effets positifs similaires.
L'exposition régulière à la chaleur des saunas pourrait également déclencher le détachement des nanomatériaux des tissus et leur évacuation par les pores des glandes sudoripares. Nous supposons que la récupération des organes endommagés et le retour à un flux sanguin normal peuvent être facilités par l'utilisation d'or ou d'argent, ou d'autres cristaux spécialisés ayant leurs propres fréquences de guérison uniques. Comme l'énergie électromagnétique stimule la formation des nanostructures observées, un ancrage régulier du corps peut aider à décharger l'énergie électromagnétique accumulée dans les tissus. Éviter une exposition excessive et inutile à l'énergie électromagnétique pourrait également être bénéfique. Les appareils électroniques personnels, tels que les montres intelligentes, les smartphones, les écouteurs sans fil, les routeurs Wi-Fi, et toutes les autres formes de pollution par l'énergie électromagnétique, devraient être considérablement réduits, voire éliminés. Les divers remèdes décrits ici pourraient être applicables comme régimes de "détoxification vaccinale" tout en tenant compte de la variance personnelle unique de chaque réponse.
Conclusion
Une revue des livres blancs gouvernementaux et de la littérature scientifique en biotechnologie, nanotechnologie, science des matériaux et ingénierie électronique combinées à des études d'incubation longitudinales révèlent des preuves irréfutables de diverses corruptions fondamentales de plateformes d'ARNm modifiés injectables largement connus sous le nom de « vaccins », injectés dans les deltoïdes de milliards d’êtres humains altèrent évidemment le contenu.
Les études et analyses comparatives suggèrent que des contaminations intentionnelles apparaissent dans les flacons de « vaccins », dans des échantillons de sang extraits de sujets testés exposés aux « vaccins » et dans les excrétion ultérieure de produits biologiques synthétiques (Woodruff & Ma erkl, 2016 ). Tant la morphologie que les caractéristiques comportementales des phénomènes observés suggèrent que loin d'être purs (Finn, 2011 p. 138), ces produits injectables sont composés de matériaux faisant appel à des techniques non divulgués, redus sensibles à une gamme de formes d’énergie internes et ambiantes, toutes traçables et décrites dans la littérature scientifique.
De profonds écarts par rapport au sens généralement compris du slogan marketing du « vaccin » et ses affirmations selon lesquelles il est « sûr et efficace » apparaissent avec nos observations faites au microscope. Surmortalité, « turbo » cancers et diverses maladies auto-immunes signalées dans le monde depuis le déploiement des « injectables » montre une corrélation étonnamment élevée. Les perversions décrites suggèrent une correspondance claire avec une infrastructure de communication en cours de construction pour l'Internet des corps humains, financé et planifié de longue date, le IoB - Internet of bodies - (Celik et al., 2022), une sorte de système nerveux central synthétique dont les détails sont également largement discutés et illustrés dans le corpus scientifique.
Les robots magnétiques biohybrides, en particulier, représentent un une préoccupation majeure pour les chercheurs qui tentent de donner un sens à la capacité de réagir à différentes sources d’énergie de ces « produits génétiquement modifiés ». Nous faisons écho aux appels d’autres chercheurs engagés dans des études similaires : jusqu'à ce que les composants puissent être vérifiés et leurs effets à long terme compris, nécessité bafouée par la tactique d’autorisation de mise sur le marché d’urgence, une interdiction mondiale immédiate est nécessaire.
Responsabilités des auteurs
Youngmi Lee :
Conceptualisation
Conception de la recherche
Analyse des images
Curation des données
Rédaction du brouillon original
Daniel Broudy :
Analyse des images
Curation des données
Édition
Rédaction
Révision
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Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin