Un nouveau type d’injection ARNm en « prévention d’une future pandémie » de H5N1 - Virus considéré comme létal à 50% par les autorités sanitaires - Un spectre de vaccination préventive se dessine
Après l’annonce du Professeur Inoue au Japon, la préparation de vaccins pour la grippe aviaire, se déclinant à présent en H5N1 et H5N2, personnalise-t-elle la pandémie X récemment discutée à Davos ?
Bonjour,
Bien que nous en ayons entendu parler depuis quelques années, sortant à peine d’une pénible situation, et en pleine ébullition pour comprendre et trouver des solutions aux poisons contenus dans les injections ARNm, je n’ai pas souhaité vous inquiéter outre mesure avant ce jour.
À l’époque il était question d’étranges rumeurs à propos d’une pandémie supposée venir des poulets.
Une pandémie d’autant plus inquiétante que les dernières recherches du Professeur Montagnier, peu avant sa disparition, bien que confuses et précoces, parlaient d’une probabilité de contamination à la maladie dite de la vache folle, ou Creutzfeldt-Jakob.
Plus d’informations à ce sujet dans mon article sur Réponses Bio.
La grippe aviaire dont nous parlons à présent, ou plus exactement les grippes aviaires, puisqu’elle à déjà été amenée à muter en deux sous-couches plus ou moins dangereuses, sont très différentes tant l’une de l’autre, que la souche principale l’est de celle de la vache folle, bien que pouvant désormais se transmettre des bovins vers l’être humain, ainsi qu’entre mammifères en général.
Préoccupations amenant le tristement célèbre Institut Gavi, suite à plusieurs contaminations humaines récentes, à « soulever la question de la menace d’une pandémie ». 1
Les dangers des grippes aviaires
Bien que mon intention ne soit pas de vous alarmer, afin d’y voir plus clair, commençons par le plus préoccupant.
D’une part il existe une version originelle du virus de la grippe aviaire empruntant le nom de code qui n’ira pas, si vous avez plus de vingt ans, sans vous rappeler quelque chose de familier, le H5N1. Une modification de la grippe des oiseaux résultant de recherches en laboratoire survenues entre 2012 et 2022 à l'Université Wisconsin-Madison2. La réplique ciblant les humains, d'un virus ayant provoqué des épidémies dévastatrices chez les oiseaux en éradiquant plusieurs espèces, a été volontairement hébergée pendant des années pour des recherches sur « les infections pouvant se propager à l'homme » dirigées par le Professeur Yoshihiro Kawaoka. Un lieu censé être étroitement sécurisé, décrit par l’investigation de Mara Hvistendahl comme ayant connu différentes fuites et risques majeurs de sécurité.3
Il est important de noter que le H5N1, qui en toute logique n’est que la première version de virus similaires, implique un risque de létalité évalué à 50% par les épidémiologistes. Tandis que sa version « grippale », moins transmissible, et, selon le consensus de l’OMS, ne « risquant pas de créer de nouvelle pandémie », le H5N2, a été classée par les mêmes instances de santé publique comme non préoccupant.
Or, après avoir émergé aux États-Unis, différentes formes virales commencent à se propager un peu partout, indiquant des chances de mutations futures.
Après un premier cas de H5N1 déclaré en Australie la semaine dernière chez un enfant de deux ans, et un cas de H5N2, supposément inoffensif, conduisant un Mexicain à la tombe, l’OMS tente de rassurer le public en prétextant que le défunt souffrait de co-morbidités.4
Tout cela ne vous rappelle rien ?
Les risques de transmission
Selon le CDC et l’OMS, les risques de transmission des sous-variants de la grippe aviaire H5N1 et H5N2 sont singulièrement différents.
Le H5N1 se serait spontanément manifesté à quelques rares occasions à partir de contacts entre humains et oiseaux, tandis que le H5N2, lui, plus récent, aurait tendance à se propager plus difficilement tout étant « moins dangereux qu’une grippe ».
Il est difficile d’affirmer que les recherches du Professeur Yoshihiro Kawaoka sur le sol américain aient pu mener à des modifications de la capacité de transmissions inter-espèces d’un tel virus, ainsi que de ses facteurs de volatilité. Cependant, on le sait spécialisé dans la modification génétique inter-espèces de virus grippaux depuis des années.
Et l’on sait aussi que des recherches et investissements sur les vaccins H5N1 sont particulièrement actifs depuis quelques semaines.
Les recherches sur les vaccins ARNm contre la grippe aviaire H5N1 - H5N2
Les recherches menées au laboratoire du Wisconsin ont finalement débouché sur la formulation, prétendument express, d'injections ARNm5 du même type que les « armes biologiques » AstraZeneka et Pfizer, dont Naevius vous parle dans son récent Podcast.
Impliquant une fois de plus, en parallèle à la pandémie de Covid 19, des tentatives de « Gain of Function » ou « bénéfices scientifiques », dans des domaines posant d’énormes problèmes éthiques.6
À partir de 2024 une course frénétique au vaccin ARNm contre le H5N1 a commencé. Un virus dont le degré de mortalité est tel qu’il donnerait, même si sa propagation demeure incertaine, un prétexte idéal pour permettre aux gouvernements de créer des campagnes vaccinales « préventives » de masse.7
Tout en ouvrant la voie à de nouvelles séries de vaccins expérimentaux dit « multi-epitopes » s’intégrant dans la logique de laboratoires opérant leurs tests mortifères à échelle planétaire.8
Les États-Unis, ayant d’ores et déjà connus plusieurs cas fatals, viennent d'investir dans près de cinq millions de doses d’un nouveau vaccin contre le H5N1 à la fin du mois de Mai 20249. Se basant sur l’approbation anticipée, passée inaperçue, d'une autorisation de la FDA de 2007, soit le service de régulation du médicament américain, de permettre la distribution d'un « vaccin » contre le H5N110.
Ces sources montrant que tous les aspects de « préparation à une pandémie » orchestrée type Covid 19, sont déjà en place pour cette nouvelle grippe aviaire, qu’elle se répande ou non.
Plusieurs laboratoires, y compris Sanofi Pasteur, Chiron Corporation et MedImmune, tous connus pour différents fiascos de vaccins anti-grippaux pré ARNm, dont le mémorable vaccin contre le H1N1, semblent avoir été principalement mandatés pour la création de ces nouvelles aberrations vaccinales.11
Fait troublant, la Chiron Corporation, entre autres, est notoirement connue pour son affiliation avec un laboratoire japonais du nom de Dai-Ichi Pure Chemicals, rappelant les déclarations non moins troublantes du Professeur Inoue dont je vous parlais dans un précédent article à propos du développement d'un vaccin japonais contre une pandémie X.12
Autre fait troublant, la participation non moins énigmatique depuis 2009 du Professeur Yoshihiro Kawaoka, dont je vous propose un portrait complet, ainsi que ses liens avec cette affaire, tant concernant les informations sur le vaccin japonais, que sur le développement de sa recette d’injections approuvée aux États-Unis.
Faisons-nous face à la préparation d’un nouveau Covid et son nouveau Professeur Fauci ?
Qui est le Professeur Yoshihiro Kawaoka et quels sont ses liens avec les injections ARNm pour le H5N1 ?
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