4 méthodes pour récupérer son eau, être en bonne santé et lutter contre le phénomène de « guerre hydrique »
Redevenir maître de sa consommation hydrique, c’est lui restituer sa gratuité, et agir tant pour la santé humaine qu’animale et environnementale, en désamorçant les mécanismes de "guerre de l'eau".
Si vous n’avez pas encore écouté l’excellent podcast de Naevius sur la « guerre de l’eau », je vous invite tout de suite à son écoute afin de vous permettre de bien comprendre les enjeux actuels comme futurs.
En résumé, nous pouvons dire que l’industrialisation dans son ensemble demande énormément d’eau, tout en la polluant abondamment. Par conséquent il est évident qu’après plus d’un siècle, ce phénomène pervers entraîne le Vivant avec un grand V, soit l’humanité, le règne animal, et la nature en général, à un stress hydrique s’apprêtant à être exploité à l’insu de tout bon sens, par des États à la solde de ces mêmes industries et leurs descendants.
C’est pourquoi vous ne pouvez plus avoir confiance dans l’eau minérale en bouteille, n’ayant, soit dit en passant, jamais été faite pour une consommation quotidienne annuelle. Pas plus que dans l’eau du robinet, ni même l’eau de pluie ou encore les rares sources et puits restant encore actifs. À moins que vous ne viviez dans un espace naturel reculé de toute civilisation, comme au nord du Canada par exemple, et là encore des questions pourront se poser et la prudence devra rester de mise.
Comment cela est-il possible ?
Les intrants chimiques destinés à l’agriculture industrielle, la crise des nanoparticules manufacturées, les « chemtrails », les essais nucléaires et accidents de centrales… ont fini, avec le temps, par s’infiltrer un peu partout sur Terre. Dans les nappes phréatiques, l’eau de mer et les lacs, donc les nuages, la pluie, tout comme l’eau du robinet, notre patrimoine le plus précieux est devenu, sans filtration, impropre à la consommation.
Payer le prix fort en achetant de l’eau minérale en bouteille ou en déménageant dans une région où l’eau du robinet semble plus potable, n’y changera rien.
Il est donc temps, d’une part pour ne pas se laisser enfermer dans un engrenage où l’eau puisse devenir si onéreuse que certaines personnes n’y auront plus accès, et d’autre part de désamorcer la crise politique et sociale en cours, en restituant sa gratuité à cette ressource indispensable à la continuité de toute forme de vie.
Je me propose donc, conjointement à un nouvel effort global de l’équipe de Réponses Bio, de vous armer face à cette guerre de l’eau, touchant votre consommation, mais également votre santé, en vous présentant les quatre méthodes universelles permettant de ne jamais manquer d’eau.
Sachez cependant, bien que vous ne risquiez objectivement rien à vous exercer à ces pratiques, que déjà, des lois spécialement pensées pour vous aliéner, tendent à interdir l’utilisation anonyme de ces méthodes.
Méthode numéro 1 : La récupération d’eau de pluie
L’eau de pluie est officiellement présentée comme une ressource que l’on ne peut destiner qu’à l’arrosage des plantes.
Ce qui malheureusement, comme nous l’avons vu, est devenu généralement vrai.
Cependant cette déclaration est incomplète. Si l’eau de pluie est impropre à la consommation humaine, elle l’est au même titre que l’eau du robinet, à la seule différence que l’eau de pluie n’aura pas été filtrée.
Il convient donc de s’équiper d’un entonnoir alimentaire avec un col cylindrique en V, aussi large que possible afin de capter un maximum d’eau, et d’une cuve, également alimentaire, adaptée à vos besoins.
Une autre méthode, si vous êtes propriétaire d’une maison, pourrait être de relier une cuve à vos gouttières, cependant, dans le cadre d’une consommation humaine, ne serait-ce que pour faire la vaisselle ou prendre une douche, un système de nettoyage intégral devra être appliqué.
Et dans tous les cas voici les deux précautions indispensables pour s’assurer de la qualité de votre eau :
1/ Tester l’eau avec un TDS mètre afin de considérer sa qualité initiale.
De la forme et de la taille d’un gros marqueur, voir la photo ci-dessous, vous trouverez un modèle éprouvé à moindre prix en suivant le lien ressource numéro.1
Si le stylet vous indique une valeur ne dépassant pas 40ppm, vous avez la chance de profiter d’une eau de qualité, à laquelle il conviendra tout de même d’appliquer la méthode numéro deux.
Au delà de 50ppm il conviendra, en plus de la méthode qui va suivre, de la traiter avec plusieurs filtres ainsi qu’une osmose inverse, mais nous y reviendrons plus en détails bientôt.
2/ Réaliser un premier niveau de filtration permettant d’évacuer les traces de radiations, nitrates, bactéries, micro-organismes, produits chimiques, nanoparticules, etc. à l’aide de deux blocs de charbon actif Moso, ou quatre bâtons, par litre d’eau à traiter.2
En plus de filtrer, cette précaution élémentaire et économique permettra d’ioniser négativement l’eau, rétablissant le processus d'ionisation positive éventuellement provoqué par un contact avec des radiations.
Pour ce faire il suffira de plonger dans l’eau bouillante vos blocs de charbon pendant quelques minutes, avant de les faire sécher soigneusement, puis de les disposer dans le fond de votre cuve. Après deux à quatre semaines de filtration, il conviendra de refaire bouillir le charbon afin d’expurger les polluants récupérés, en les réutilisant un maximum de trois à quatre fois. Lorsque que leur pouvoir d’adsorption aura été épuisé, vous pourrez les utiliser dans le compost ou pour nourrir le potager, après les avoir fait bouillir une dernière fois.
Méthode numéro 2 : Les sources naturelles
En fonction des endroits où elles jaillissent spontanément, il est encore possible de trouver des sources prenant leur essor en profondeur, échappant ainsi aux intrants chimiques et à la majorité des polluants.
Si votre TDS mètre indique une valeur inférieur à 10, il est probable que cette eau soit de grande qualité, cependant afin d’éviter des analyses plus approfondies et onéreuses, il sera toujours utile de recourir, par précaution, aux blocs et bâtons de charbon Moso.
Toutefois si votre TDS mètre indique une valeur supérieure à 25, des couches de filtration supplémentaire et d’osmose pourraient s’avérer nécessaires.
Méthode numéro 3 : La captation d’eau avec les pièges à humidité
Tout comme pour l’eau de pluie, la captation d’humidité ambiante, moins connue, peut s’avérer fructueuse lorsqu’elle est bien pensée.
Pour la mettre à profit un linge propre en coton bio, ou un plastique alimentaire type cellophane, peut être tendu entre deux poteaux pendant la nuit, puis essoré dans une cuve alimentaire recouverte par une maille filtrante au petit matin, ou disposé sur un bac recueillant les gouttes.
Il conviendra d’appliquer les même précautions qu’avec l’eau de pluie pour permettre sa consommation.
Méthode numéro 4 : La rosée du matin
Très proche de la captation d’eau, de brouillard et brume, la rosée du matin peut être récoltée artisanalement à l’aide d’un linge biologique propre que l’on utilise pour le passer sur les plantes, l’herbe fraîche et les feuilles, puis d’essorer le linge dans une cuve alimentaire recouverte par une maille filtrante.
Une fois de plus, différents processus de filtration et d’osmose devront impérativement s’ajouter à un premier nettoyage reminéralisant, à l’aide des blocs de charbon Moso.
Enfin une cinquième méthode, étant probablement la plus utilisée de nos jours, bien qu’elle pèse sur la facture mensuelle et que l’eau n’y soit pas de meilleure qualité, consiste à filtrer l’eau du robinet, que l’on pourra également tester avec son TDS mètre avant et après la filtration. Dans ce contexte il conviendra de traiter l’eau avec plusieurs niveaux de filtration, puis de l’osmoser, et finalement de réintroduire un bâton de charbon Moso une fois filtrée.
Idéalement cette méthode, et les autres, devraient s’additionner à une dynamisation, voire à un traitement aux électrodes d’argent et de cuivre. Cependant je vous en parlerai plus en détails dans mon prochain article, sur Réponses Bio.
Une fois ces techniques acquises, elles vous aideront à vous retirer purement et simplement des pressions gouvernementales et économiques de la consommation d’eau potable, tout en garantissant une meilleure santé et des alternatives éprouvées en cas d’épisodes de sécheresse.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Bonjour
J'ai un filtre berkey à charbon est-ce suffisant
Merci Jackie