Vidéo du futur chef de cabinet d’Etat de Donald Trump :
Sources :
1/ Le New York Times :
https://www.nytimes.com/live/2024/11/22/us/trump-cabinet-news
2/ Reuters :
https://www.msn.com/en-us/health/other/
3/ Le reportage de Greg Reese :
Retranscription textuelle de votre podcast :
Vous êtes avec Naevius, Bonjour,
Tout comme à l’époque de la Seconde Guerre mondiale, les populations occidentales attendent de grandes choses de l’Amérique.
Comme si les électeurs des pays sous domination avaient finalement décidé d’accepter leur condition en se persuadant que cette fois, l’oncle Tom allait réparer l’horrible situation où ils se sont enlisés par excès de confiance, de crédulité ou en cédant à la panique.
Marquant peut-être les prémisses d’un système électoral mondial tant la planète entière aura manifesté son intérêt pour un vote ne lui étant pas proposé.
Toujours est-il qu’au lieu de se questionner sérieusement à propos de leur pouvoir immédiat, les espoirs de la majorité semblent s’être tournés vers le nouveau leader de l’empire économique, en mesure, il est vrai, de déclencher une avalanche de conséquences par le moindre de ses décrets.
Toutefois, après avoir fait bonne figure en esquivant les balles et choisissant le soutien de Kennedy junior pour rallier les « réfractaires » aux injections ARNm à ses rangs, le journaliste d’investigation Greg Reese publie un reportage établissant un inquiétant parallèle concernant les choix effectués en coulisses pour le futur gouvernement de Trump. Lien vers l'article Lien vers l'article
Montrant que son chef de cabinet ainsi que les personnes qu’il compte nommer à la tête des institutions qu’il prétend vouloir réformer par Kennedy junior, sont, en fait, les mêmes organisateurs de crise ayant collaboré à l’opération Warp Speed. Opération à l’origine du développement éclair des technologies injectables ARNm pour le Covid.
Reese rappelant que Trump a toujours été favorable aux vaccins, et que la préparation des plans du Covid-19 avait pris place sous la fin de son premier mandat. À l’époque, il n’a rien fait pour éviter les confinements, « distanciations sociales », et campagnes vaccinales en préparation. Et une fois que les injections étaient disponibles à la vente, encourageant publiquement ses partisans à se faire injecter des mixtures dont il ne pouvait ignorer, même à l’époque, le danger.
Parmi les choix de Trump se trouve les têtes d’affiche ayant plébiscité la fermeture des lieux publics aux non-vaccinés, montrant dans la vidéo présente dans la description, le genre de bonus « cool » auxquels la vaccination donnait droit.
Comme, par exemple, aller au restaurant, à la bibliothèque, au cinéma, et même avoir une vie sociale.
Des gratifications présentées comme s’il s’agissait de nouveautés révolutionnaires auxquelles seuls les bons élèves ont droit.
Je vous laisse en juger par vous-même dans ce passage édifiant, en anglais, ci-dessous.
Selon Greg Reese, ayant couvert de nombreuses infos dissimulées aux populations, le choix stratégique d’un cabinet en mesure d’assurer la continuité de l’opération Warp Speed ne peut qu’augurer de nouvelles pandémies, confinements et campagnes injectables.
Sachant que c’est son dernier mandat, Donald Trump a-t-il négocié les termes de la prochaine propagande vaccinale avec les organisateurs de crise, en réintégrant leurs pions dans l’échiquier des gouvernances sanitaires ?
Pour le savoir, il nous faudra attendre le prochain épisode de ce grand feuilleton hollywoodien auquel nous a habitués l’homme d’affaires septuagénaire.
L’autre part d’incertitude provoquée par les appuis et choix politiques de Trump implique bien évidemment Elon Musk.
Après avoir bâti un empire technologique faisant de lui l’homme le plus riche de l’histoire moderne, plus riche que ne l’a jamais été Rockefeller, dominant tant les domaines d’application de l’intelligence artificielle, de la conquête spatiale, des systèmes de paiement numériques, de l’automobile électrique, de la robotique, que du transhumanisme, après avoir signé les premières implantations de puces dans le cerveau humain… le considérable pouvoir politique lui étant confié fusionne avec la puissance économique de ses entreprises.
Lui permettant d’une part de favoriser leur développement au détriment de concurrents et outsiders, et d’autre part d’assurer la réalisation des rêves de milliardaires technocrates proches du déclin, prêts à consacrer une importante partie de leur fortune pour espérer vivre encore, ne serait-ce que numériquement...
Or, si cet univers dystopique se concrétise en plus de la continuité de l’agenda des organisateurs de crise planant sur l’Occident, n’oublions jamais que ce sera, paradoxalement, le désir de liberté et l’espoir démocratique de la majorité qui l’aura porté.
C’était Naevius pour Réponses Bio.
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